2009
DOI: 10.3138/cmlr.65.5.841
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Le maintien du français chez les fonctionnaires fédéraux anglophones : Impact d'un programme de formation linguistique

Abstract: The retention of French language skills among anglophone federal public servants has been an issue since the beginnings of language training in the 1970s. Despite renewed interest in public servants' language use and noticeable advancements in the study of language attrition, however, little research has been conducted on second language retention in the public service context since Edwards (1977). Adopting a critical sociolinguistic perspective, this exploratory multiple case study examines the impact of one … Show more

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“…Le Commissariat aux langues officielles du Canada et le Secrétariat du Conseil du Trésor ont notamment publié des rapports -dont certains rapports de recherche -sur la question et dans lesquels les fonctionnaires sont sondés. À cela s'ajoutent les recherches menées en sociale (Bourhis, 1994), en sociolinguistique (LeBlanc, 2014) et en apprentissage des langues secondes (Gentil, 2009) qui, toutes, donnent la parole aux fonctionnaires, par l'entremise de sondages, d'entrevues, d'observations sur le terrain, etc. Il est clair que cet aspect n'aurait pas été au coeur de son ouvrage, mais les obstacles à la mise en oeuvre des dispositions de la partie V de la Loi sur les langues officielles ne se limitent pas aux instruments dont le gouvernement s'est servi pour mettre en oeuvre la politique linguistique ou encore aux débats sur le bilinguisme au sein de l'appareil gouvernemental.…”
Section: Université De Monctonunclassified
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“…Le Commissariat aux langues officielles du Canada et le Secrétariat du Conseil du Trésor ont notamment publié des rapports -dont certains rapports de recherche -sur la question et dans lesquels les fonctionnaires sont sondés. À cela s'ajoutent les recherches menées en sociale (Bourhis, 1994), en sociolinguistique (LeBlanc, 2014) et en apprentissage des langues secondes (Gentil, 2009) qui, toutes, donnent la parole aux fonctionnaires, par l'entremise de sondages, d'entrevues, d'observations sur le terrain, etc. Il est clair que cet aspect n'aurait pas été au coeur de son ouvrage, mais les obstacles à la mise en oeuvre des dispositions de la partie V de la Loi sur les langues officielles ne se limitent pas aux instruments dont le gouvernement s'est servi pour mettre en oeuvre la politique linguistique ou encore aux débats sur le bilinguisme au sein de l'appareil gouvernemental.…”
Section: Université De Monctonunclassified
“…C'est ainsi que la prise en compte des réalités du terrain -à la fois des discours sur la langue et des pratiques langagières -aurait sans l'ombre d'un doute permis à Gaspard d'illustrer la complexité de la situation et de mieux développer son argumentaire pour convaincre son lectorat. La question des rapports de pouvoir (Bourhis, 1994;LeBlanc, 2014), des représentations linguistiques et de l'insécurité linguistique (LeBlanc, 2014; Commissariat aux langues officielles du Canada, 2005) et de l'apprentissage des langues secondes (Gentil, 2009) revient si souvent dans les études sur la fonction publique qu'il est presque impossible de les passer entièrement sous silence. Parallèlement, on peut s'étonner que Gaspard n'ait pas fait référence aux entretiens qui ont fait partie de sa recherche.…”
Section: Université De Monctonunclassified