La reconnaissance de soi et ses limites dans l’exposition La mort n’en saura rien

Abstract

Este artículo trata de un aspecto la recepción de une exposición: es el de la ausencia de respeto para el público, que puede suscitar reacciones de asco, de miedo, de hostilidad, por mótivos de creencia, valores, sensibilidad estética, o emotividad de las personas. La análisis de estas límites, en el caso de una exposición sobre la muerte, permitió ver la frontera variable de la comprensión intercultural y sensible de la realidad. En la situación de interacción entre la propuesta museal, la características de los visitantes y sus comportamientos sociales durante la visite, estas límites pueden ser tratadas de manera constructiva, para hacerles mover gracias a une reflexión sobre la identitad, favorecada por la conjunción entre las barandillas museológicas, los mecanismos de defensa individual, y los intercambios dentro de los grupos. La observación de la tensión entre transgresión y reacción en las exposiciónes de arte contemporaneo ha favorecido une interogación sobre la evolución de los museos de sociedad como espacios de implicación y de reflexividad para un visitante cada vez mas situado en el centro del dispositivo museográfico.

J’y crois, j’y crois pas : invitation à l’introspection et sujet tabou

“…Cet exemple mérite ici d'être cité car l'exposition du musée de Bretagne propose l'inverse : son parcours est linéaire et elle interroge explicitement les visiteurs. Elle réunit donc a priori les conditions pour faire prendre aux visiteurs « une distance par rapport à leurs représentations, stéréotypes, attitudes et pratiques sociales », caractéristique, pour Jean-Pierre Cordier, des musées de société (Cordier, 2005).…”

Visiter les musées : Expérience, appropriation, participation

“…Parce qu'avec ces dernières expositions, nous sommes au plus près d'une conception anthropologique de la culture en actes, la modélisation de leur mode opératoire semble devoir re celer un principe plus général. La visite du musée se révèle être une expérience sociale, non seulement parce qu'elle permet d'éla borer le sens de pratiques dominées par un principe d'hétérogé néité, mais aussi parce qu'elle soumet l'identité narrative des individus à l'épreuve de la réflexivité (Cordier, 2005 ;Debary & Roustan, 2012).…”