“…Andréia Guerini (2002) partage l'opinion de Wanderley dans son article sur la traduction du poème L'infinito de Leopardi, faite par Haroldo de Campos. Guerini signale d'abord que chez Campos « traduire la forme est un critère de base et quand on traduit un poème, l'essentiel n'est pas la reconstitution du message, mais la reconstitution du système de signes où le message est incorporé; de l'information esthétique et pas de l'information purement sémantique » (Guerini, 2002, p. 109 Elle ajoute qu'« Augusto de Campos semble rejeter la question du thème, de la figuration, des sensations sentimentales » (César, 1988, pp.…”