L’expérimentation sociotechnique fondée sur les sciences comportementales : Un instrument au service de la production de l’acceptabilité sociale ? 

La fabrique de la protection

“…Fréquemment confondue par les auteurs -québécois et états-uniens pour l'essentiel (entre autres, Batellier, 2016 ;Bergeron et al, 2015 ;Fournis et Fortin, 2015 ;Gendron, 2016 ;Granier, 2015 ;Sauvé et Batellier, 2011) -avec l'acceptabilité qu'ils considèrent comme un stade abouti et l'acceptation comme un stade échoué, cette dernière La confection d'un décret et de la carte adjointe relève donc en grande partie d'arrangements (Beuret, 1999). Delhoume et Caroux (2014) (Laslaz, 2004).…”

#Participating #Contesting: Studying Counterpublics’ Discourses on Twitter About the Social Acceptability of Medical Assistance in Dying Legislation in Canada

“…Given that social movements, formal political actors, corporations, interest groups, and citizens can use social media as a communication tool and means to voice political concerns, digital platforms become an additional forum where projects raising social‐acceptability issues can be debated. The notion of social acceptability has become unavoidable over the last decade when developing projects (Batel, Devine‐Wright, and Tangeland 2013; Cowell, Bristow, and Munday 2011; Fournis and Fortin 2015; Gouvernment of Quebec 2015; Granier 2015; Jobert, Laborgne, and Mimler 2007; Wolsink 2012); it can be conceived of as a collective judgment toward a project that is first and foremost based on citizens’ values regarding its economic, environmental, or social aspects (Yates 2018). In Canada, projects such as wind farms, shale gas, gas terminals, and pipelines have been subjects of sharp contention based on this notion of social acceptability (Batellier and Maillé 2017; Côté 2016; Gendron, Yates, and Motulsky 2016; Pineault 2016).…”

L’adoption du smart grid par les promoteurs japonais : une perspective immobilière sur la smart city

“…La catastrophe de Fukushima ayant révélé la vulnérabilité du système de production et de distribution de l'électricité, le gouvernement a choisi de donner une nouvelle impulsion aux réformes de dérégulation du marché et d'ouvrir son mix énergétique à des technologies vertes (Leprêtre, 2017). De 2011 à 2015, le METI a amorcé un mouvement de territorialisation des politiques énergétiques au moyen d'un programme national centré sur quatre sites « démonstrateurs » où s'expérimente à grande échelle, conjointement à des consortiums d'entreprises privées, la formation de smart communities 8 , notamment autour des EMS (Granier, 2015;Faivre d'Arcier et al, 2016b ;Languillon-Aussel et al, 2016). En parallèle sont lancés des projets d'initiative privée tels que Kashiwa no Ha (Languillon-Aussel, 2015), souvent centrés sur des opérations de promotion immobilière, par des entreprises ou des collectivités locales.…”