“…C'est le cas par exemple Une exposition insuffisante à une langue donnée peut, dans bien des cas, expliquer l'absence de structures linguistiques particulières chez certains enfants à un âge où d'autres les maîtrisent. Quelques premiers pas ont été effectués ces dernières années pour développer des outils en français adaptés à différentes populations d'immigrés ou bilingues : l'ELAL d'Avicenne (Rezzoug et al, 2018), le LITMUS-NWR-FR (Ferré & dos Santos, 2015), l'ELO de Khomsi testé sur des populations d'enfants réunionnais (Mercier & Hamon, 2012) et tahitiens (Bruyère & Doisy, 2013). Cela étant, il s'agit soit de tests très généraux qui ne permettent pas une évaluation précise des différents niveaux linguistiques, soit d'épreuves isolées.…”