“…Il met en lumière le fait qu'en dépit d'une croissance écono-mique notable liée essentiellement à l'exploitation de matières premières, tant minières, pétrolières, gazières que forestières, l'Afrique tardeen effet, de trouver des moyens pour favoriser des retombées positives sur la jouissance des droits de la personne, en particulier les droits sociaux, économiques et culturels. L'article invite donc à réfléchir sur les contradictions existant entre les modes actuels de production éco-nomique qui priorisent l'accumulation des richesses personnelles au détriment de l'écologie (Lynch et al, 2013). De plus en plus, une reconfiguration de l'organisation sociale s'impose pour arrêter, ou du moins ralentir, la destruction de la planète et de la vie par des agents économiques qui mettent les profits avant les intérêts vitaux des géné-rations présentes et futures (South, 1998).…”