Increased drought tolerance of mycorrhizal onion plants caused by improved phosphorus nutrition

Abstract

Onion plants (Allium cepa L, cv. Downing Yellow Globe) grown in pots and infected by the mycorrhizal fungusGlomus etunicatus Becker and Gerdemann were more drought tolerant than were non-mycorrhizal individials when exposed to several periods of soil water stress separated by periods of high water supply, as shown by greater fresh and dry weights and higher tissue phosphorus levels in the mycorrhizal plants. The tissues of stressed, non-mycorrhizal plants were deficient in P, despite the fact that only non-mycorrhizal plants were fertilized with high levels of P (26 mg P per 440 g soil). Differences in plant water relations (leaf water potentials or transpiration rates) and changes in soil P levels which may have affected plant growth were investigated, and discounted as factors important for the results. The P nutrition of plants has been implicated in the ability of plants to tolerate drought and it was concluded that the ability of the mycorrhizal fungus to maintain adequate P nutrition in the onions during soil water stress was a major factor in the improved drought tolerance. Infection of the root by the fungus was found not to be affected by water stress or P fertilization but fungal reproduction, as determined by spore numbers in the soil, was decreased by water stress and by P fertilization.

Rôle des champignons mycorhiziens à arbuscules de zones arides dans la résistance du trèfle (Trifolium alexandrinum L.) au déficit hydrique

“…En effet, en présence d'une contrainte hydrique sévère (30 % CC), la mycorhization du trèfle par les isolats d'Aoufous ou le Glomus mosseae permet à la plante de maintenir sa teneur en eau et son potentiel hydrique à des valeurs élevées au niveau de la partie aérienne de la plante. Des réponses analogues on été signalées dans le cas de plusieurs plantes mycorhizées [14,16,18,22,33,34,41]. Les plantes mycorhizées ont présenté de meilleurs taux de transpiration et des faibles résistances des stomates comparées aux plantes témoins.…”

“…La sélection de champignons mycorhiziens pour leur aptitude à améliorer la croissance et les relations hydriques des plantes soumises en permanence aux stress abiotiques pourrait constituer une stratégie capitale permettant la restauration et la réalisation d'une agriculture convenable dans les palmeraies marocaines comme cela a été vérifié dans des conditions similaires [42]. L'amélioration des relations hydriques des plantes mycorhizées pourrait être attribuée à une augmentation de la nutrition phosphatée, de l'absorption d'eau [20,22,33] ou à une augmentation des produits de la photosynthèse (sucres et protéines) des plantes inoculées [46].…”

GROWTH, NUTRITION AND GAS EXCHANGE OF BROMUS INERMIS INOCULATED WITH GLOMUS FASCICULA TUM

“…Several other studies have also demonstrated greater rates of stomatal conductance in mycorrhizal grasses Allen, 1982;Allen & Boosalis, 1983;Allen, 1984). This response may be due to improved P nutrition (Nelsen & Safir 1982b), increased hydraulic conductance (Allen et al, 1981;Hardie & Leyton, 1981), or increased root-fungus absorptive area (Allen, 1982).…”

Impacts des conditions pédoclimatiques et du mode cultural sur la réponse du niébé (<i>Vigna unguiculata</i> L. Walp.) à l’inoculation endomycorhizienne avec <i>Rhizophagus irregularis</i>

“…Contrairement à la zone soudano-sahélienne (Diokoul) où l'inoculation a produit des effets positifs, aucun effet significatif de l'inoculation sur les biomasses des plants n'a été observé en zone sahélienne (Darou Mousty), suggérant un effet site fortement marqué par rapport à l'effet inoculation. L'hétérogénéité suivant les sites de certains facteurs dont l'humidité du sol (Nelsen & Safir, 1982), le niveau du phosphore dans le sol (Boukcim & Moussain, 2001), la lumière (Bethlenfalvay & Pacovsky, 1983), la température du sol ( Haugen & Smith, 1992 ), expliquerait les différences dans la réponse à l'inoculation suivant les sites. Dans notre étude, le gradient pluviométrique et le niveau du phosphore dans le sol seraient les facteurs les plus influents.…”