Illustrated Historiography and the Image of the Past in Nineteenth-Century France

Death from Above in Minard's Napoleon Map

“…And, as with the illustrated histories of the romantic school of French history that developed during the Restoration and July Monarchy and on which he drew-peppered as they were with atmospheric wood-engraved vignettes and evocative culs de lampe-it was visual in both its methods and affective charge. 46 Given this responsiveness to both the present time and to the drawn-out timescale of lived history, the lateness of Minard's Napoleon and Hannibal maps in his own career is worth pausing over. "Late works," as Theodor W. Adorno observes, are conventionally "relegated to the outer reaches of art, in the vicinity of document."…”

O patriotismo do Sunday Post: ficções de guerra e de soldados

“…Indios moscovies (sic) ofreciendo presentes al Sr. Rams, en su viaje de exploración del Río Salado, en junio de 1857", Correo del Domingo, 2 de abril de 1865). Estas últimas, junto con las de reportaje de noticias, son las más osadas, puesto que incursionan en la representación de eventos -tanto históricos como recientes-sin necesariamente presentar garantías testimoniales, lo que Maurice Samuels (2003) llama "imágenes retrospectivas":…”

L'armée de l'an II : la levée en masse et la création d'un mythe républicain

“…Ils n'ont aucune envie de passer une loi en faveur d'une nouvelle conscription qui deviendra une question électorale le jour où la nation sera une nouvelle fois confrontée à une guerre de défense nationale en 1870. Et même alors, face à la perspective d'une défaite écrasante et humiliante, les conservateurs réussiront à s'opposer à l'abolition du remplacement et au projet que tout citoyen, quels que soient son statut social et ses revenus, paye sa quotepart de « l'impôt de 49 . La sculpture de François Rude pour l'Arc de Triomphe, commandée par la Monarchie de Juillet pour vanter les triomphes militaires de Napoléon, reste cependant l'expression la plus célèbre de ce culte : le panneau, achevé entre 1833 et 1836, communément appelé « La Marseillaise », dépeint ce qu'il y a de plus romantique dans l'imagerie révolutionnaire, c'est-à-dire le départ des volontaires de 1792.…”