Frequency and Causes of Early-onset Dementia in a Tertiary Referral Center in Athens

Abstract

We conclude that EOD patients are more likely to be seen in specialized settings. The underlying diseases are considerably different in EOD compared with LOD. Secondary causes are often found in patients with EOD. Patients with EOD had an unexpectedly longer time-to-diagnosis than patients with LOD. This argues for a need of better education about the clinical presentation of dementia in the young and middle aged.

Cognitive Reserve Hypothesis in Frontotemporal Dementia: Evidence from a Brain SPECT Study in a Series of Greek Frontotemporal Dementia Patients

“…The existing relevant data in Greece stems only from retrospective FTD [18] or early dementia patient series [19], an outdated AD prevalence study [20], and a prospective study on the effects of education in cognitive decline among MCI subjects [21]. This study is also one of the largest in the relevant international literature, including both bvFTD and PPA patients.…”

A Longitudinal Study of Physical Function in Patients with Early-Onset Dementia

“…However, persons under 65 years are likely to still be working, and they may be carers for both under-age children and elderly parents, so the disease affects both economy and family life in a different way than in older patients. EOD is less common than late-onset dementia (LOD) [1,2], and time to correct diagnosis is often longer in patients with EOD than in those with LOD [3,4,5]. Alzheimer's disease (AD) is the most frequent diagnosis in both forms of dementia, but less dominant in EOD than in LOD [2,6].…”

Le recours représente 42 % de l’activité d’une consultation mémoire neurologique d’un centre mémoire de ressources et de recherche

“…La littérature n'apporte pratiquement pas de données sur l'activité de recours d'une consultation mémoire telle que nous la concevons en France car les travaux concernent des études de communauté ou de population, sans identifier l'origine de la consultation. Un seul travail rapporte l'expérience d'un centre expert de recours, celui de la région d'Athènes à qui 309 patients, issus d'un bassin de population de quatre millions d'habitants, ont été adressés en trois ans par des neurologues ou de psychiatres [11]. Parmi eux, 84,1 % avaient une démence, dont 43,8 % avaient moins de 65 ans.…”

“…Les données de Papageorgiou et al (2009) concernent un centre athénien auquel les neurologues et psychiatres de la région d'Athènes envoient leurs patients, sur 309 patients référés, 84,1 % avaient une démence dont 34,6 % de MA. Ce centre athénien a une activité d'expertise proche de celle d'un CMRR, sauf que les médecins généralistes ne leur adressent pas directement des patients, ce qui interdit une comparaison recours/non recours[11].L'étude française des 3 Cités a montré que 30,8 % des patients déments consultaient spontanément un médecin spécialiste[24]. Par rapport à ceux qui consultaient spontanément un généraliste (31,5 %), il s'agissait de patients plus jeunes (mais les sujets de la cohorte des 3 Cités ont plus de 65 ans), de haut niveau socio-éducatif, avec plus d'altérations instrumentales de la vie quotidienne et une plus grande conscience de leurs troubles, mais sans aucune influence du niveau de MMSE.…”