Etude comparée des paramètres agromorphologiques de dix (10) variétés de patate douce (<i>Ipomoea batatas</i> (L.) Lam cultivées au champ dans deux (2) conditions climatiques au Tchad et au Burkina Faso

Abstract

http://indexmedicus.afro.who.int Etude comparée des paramètres agromorphologiques de dix (10) variétés de patate douce (Ipomoea batatas (L.) Lam cultivées au champ dans deux (2) conditions climatiques au Tchad et au Burkina Faso

Perception paysanne des principales contraintes et pratiques culturales en production de patate douce au Burkina Faso

“…La production de la patate douce au Burkina Faso est passée de 50 000 t/an dans les années 90 à 160 000 t en 2013 (DGESS, 2014), mais cet accroissement semble dû pour l'essentiel à l'augmentation des surfaces emblavées. En effet les rendements au plan national sont en moyenne de 15t/ha contre 25t/ha pour les variétés améliorées testées en station (Djinet et al, 2015). Le faible rendement des variétés de patate douce en milieu paysan s'explique principalement par la pauvreté des sols, l'insuffisance d'eau, les maladies (virales et fongiques) et les insectes ravageurs (Alghali et al, 1994, Okonya et al, 2014.…”

Planting date and variation in quantitative traits of Solenostemon rotundifolius [(Poir.) J. K. Morton].

“…This performance of accessions at the D2 date could be linked to the heavy foliage observed during the vegetative stage. According to DJINET et al (2015), large vegetative development leads to greater accumulation of the photosynthate necessary for tuber formation. However, the accessions at date D1, which also showed large vegetative development, did not show an important yield.…”

Caracterisation des performances de croissance et de resistances aux maladies et aux ravageurs de sept (7) varietes de patate douce (Ipomoea Batatas (l), Lam., 1793) dans la region de bouake, Cote d’Ivoire

“…En effet, la variation des conditions environnementales est l'un des paramètres qui agit sur les poids des tiges de patate douces. Djinet et al (2015) confirment bien ce résultat en prouvant qu'il existe une différence significative entre la biomasse aérienne des dix variétés de patate douce qu'ils ont comparé dans deux conditions climatiques différentes.…”