“…Certains de ces écrits questionnent le caractère innovant des MOOCs (Conole et al, 2008), d'autres remettent en question leurs méthodes et la qualité des apprentissages qui en résultent (Toven-Lindsey et al, 2015). À cela s'ajoute le constat de faibles taux de complétion, oscillant généralement entre 5 et 10 % (Schiffino et al, 2015). À l'égard de ces constats, nous souhaitons répondre à deux questions de recherche : 1) En quoi un MOOC peut-il être innovant?, 2) Quel est le processus d'innovation sousjacent à cette forme récente d'enseignement à distance au sein d'une institution d'enseignement supérieur?…”