Emergency workers' cognitive appraisal and coping with traumatic events

Sinistres et intervenants

“…À cet effet, Mitchell et Dyregrov (1993) mentionnent que la pénurie de documentation avant 1978 est tout à fait étonnante. Il y a donc un criant besoin de recherches sur l'impact du travail en situation de désastre qui est fréquemment mentionné par maints auteurs et chercheurs (Gibbs et al, 1993 ;Kenardy et al, 1996 ;Laube-Morgan, 1992 ;McCammon et al, 1988 ;McFarlane, 1988). L'intérêt que portent les organismes subventionnaires et les chercheurs aux répercussions de l'intervention sur la santé physique et psychologique des intervenants qui offrent du support psychologique demeure, quant à lui, encore plus déficitaire à l'heure actuelle.…”

“…, McCammon et al (1988) abondent également dans ce sens, spécifiant que les intervenants sont généralement perçus comme possédant une plus grande stabilité psychologique que la population en général et ayant davantage de capacités à résister à une très forte pression.…”

“…Peu importe la nature du désastre et des tâches à effectuer, les intervenants doivent s'efforcer de répondre aux divers besoins exprimés par les victimes et accomplir leur travail dans un contexte où leurs conditions de travail sont loin d'être idéales (Armstrong et al, 1991). Une proportion des intervenants engagés dans ce type de travail vivront des problèmes significatifs d'adaptation psychologique (Duckworth, 1991) pouvant affecter leur santé physique (Berah et al, 1984) et mener à des répercussions négatives de longue durée (McCammon et al, 1988).…”

The Impact of the 1995 Oklahoma City Bombing on the Partners of Firefighters

“…[1][2][3][4][5][6][7][8][9][10][11][12][13] For direct victims, exposure may be sudden, unanticipated, and life threatening. For professional rescuers, on the other hand, exposure to traumatic events is an anticipated part of their job.…”

A Study of the Antecedents and the Consequences of Social Network Service Addiction

“…By contrast, people with low self-efficacy are inclined to apply negative coping strategies and, therefore, tend to be more affected by stressful events (Bandura, 1997;Luszczynska, Scholz & Schwarzer, 2005;Schwarzer & Jerusalem, 1995). Previous studies have contended that self-efficacy plays a critical role in stress relief (Kreitler, Peleg & Ehrenfeld, 2007;Matsushima & Shiomi, 2003;McCammon, Durham, Allison & Williamson, 1988;Moeini et al, 2008). People with high self-efficacy are less likely to be influenced by extremely stressful scenarios (Heinrichs et al, 2005;Prati, Pietrantoni & Cicognani, 2010;Regehr, Hill & Glancy, 2000;Regehr, Hill, Knott & Sault, 2003).…”