“…Ne faudrait-il pas assumer le terme de « sensibilisation » ? On doit leur reconnaître « un certain droit à la fatigue, ou à l'obscurantisme, à tout le moins à la passivité, une certaine forme de passivité citoyenne ayant plus de vertus qu'un activisme enrégimenté » défend Jean-MichelBelorgey (2006). La question que doit se poser le paysagiste est de quelles expertises a-t-il besoin pour agir ?…”