Die Wechselbeziehungen der Struktur und der biologischen Aktivität der Schilddrüse der Säugetiere und Vögel bei verschiedener Temperatur

Woitkewitsch, A. A.

doi:10.1007/bf01889131

Cited by 8 publications

(2 citation statements)

References 6 publications

Supporting

Mentioning

Contrasting

Unclassified

Order By: Relevance

“…L'action de la thyroide est double: action lente, prolongke a p r b un temps de latence d'au moins 12 heures chez le lapin et effet maximal aprb 48 heures (Schaeffer & Thibault, 1945). C'est B une hyperactivitd thyroidienne que de trhs nombreux auteurs (Mills, 1918; Adler, 1 9 2 0~; Cramer, 1928;Kenyon, 1933;Kuschinsky, 1935 ;Woitkewitsch, 1935) attribuent les manifestations de ' l'adaptation' au froid des homkothermes. Mais, en plus de cet effet, la thyroide a une action synergiste avec l'adrknaline, effet renfoqateur, indkpendant du premier (Ring, 1942;Schaeffer & Thibault, 1945).…”

Section: Le Cycle Saisonnier Des Glandes Endocrines Chez Les Hibernantsunclassified

Le Sommeil Hibernal

Kayser

1950

Biological Reviews

100

View full text Add to dashboard Cite

Résumé 1. La calorification des hibernants endormis est de2,0 à 2,5 Calories par kilo et 24 heures pour les espéces dont le poids oscille entre 200 et 2200 g. Les deux espéces étudiées a la même température (10o C.) qui ne péssent que 20 g. (muscardin et chauve‐souris) ont une calorification ?intensitéá peu prés double. Quand on raméne la production de chaleur des hibernants á la surface (S = 10 × P½), on constate que les especes de 20 a 250 g. (chauve‐souris, muscardin, loir, spermo‐phile) produisent environ12,5 Calories par métre carré et 24 heures, tandis que les marmottes de 850 á 2000 g. en produisent à peu prés deux fois autant. 2. La calorification des hibernants endormis obéit à la régie de van't Hoff‐Arrhénius entre 8 à 10o C. Les hibernants endormis ont tendance à se réveiller aux températures voisines de oo C. 3. Au point de vue quantitatif, il semble qu'il soit difficile ?éablir une différence fondamentale entre la calorification des mammiféres hibernants endormis et celle des vrais poikilothermes (reptiles, amphibiens) mesurés à la même température de 10o. 4. La chauve‐souris se comporte pendant toute ľannée comme un animal à température variable. Elle n'atteint une température centrale éléven (37o) et une calorification intense, comparable à celles des autres mammiféres homéothermes, en été que le soir au moment de son vol. 5. Les hibernants endormis brûlent des graisses pour couvrir leur dépense ?énergie. 6. Les hibernants endormis ne réagissent pas par de ľhyperventilation aux petites augmentations de la concentration en anhydride carbonique du milieu. lls présentent une respiration périodique. Ces deux manifestations prouvent que ľappareil de regulation de leur respiration est déprimé pendant le sommeil. 7. Les hibernants réveillés ont une calorification en été qui est du même ordre de grandeur que celle des mammiféres homéothermes de méme taille. Leur production de chaleur obéit à la loi des tailles; la loi des surfaces s'applique à eux avec la même précision trés relative que Ton trouve chez les autres homéothermes. 8. La thermogenése de réchauffement des hibernants réveillés est particuliere‐ment intense; ce fait est dû a leur mauvaise régulation de la déperdition. Les hibernants révéilles ont toujours une thermorégulation physique insuffisante. 9 En automne, on voit apparaître une réduction de la thermogenése de réchauffement. ľentrée en sommeil hibernal est précedée ?une insuffisance thermo‐régulatrice intéressant et les mécanismes de thermolyse et ceux de thermogenése.s 10. Les hibernants présentent un cycle annuel ?un grand nombre de glandes endocrines: hypophyse antérieure, glandes génitales, cortex surrénalien, thyroide présentant des signes ?involution automnale avec maximum ?activité au printemps (mars). La duree de ľhyperactivité thyroidienne est courte. II est trés probable que la température élévee de ľété, le grand développement de ľactivité génitale, sont responsables de ľinvolution thyroidienne relative, déjá manifeste en avril et mai. Le cortex surrénalien présente une zone X tr...

show abstract

Section: Le Cycle Saisonnier Des Glandes Endocrines Chez Les Hibernantsunclassified

Le Sommeil Hibernal

Kayser

1950

Biological Reviews

100

View full text Add to dashboard Cite

show abstract

“…Hoffmann & Shaffner (1949) found that residence in a warm climate reduced the basal metabolism of growingchickens. Woitkewitsch (1935), Miller (1939) and Hoffmann & Shaffner (1950) were able to observe changes in the thyroid glands after acclimatization treatment.…”

Section: General Introductionmentioning

confidence: 95%

Physiological acclimatization of fowls to a hot humid environment

Hutchinson

Sykes

1953

J. Agric. Sci.

View full text Add to dashboard Cite

1. The resting heart rate of cocks and hens was measured in varying degrees of heat stress, and during acclimatization to heat.2. When the rectal temperature was below 110°F. (43·3° C), the heart rate varied inversely with the severity of the climate up to an air temperature around 99° F. (37·2° C).3. At air temperatures of 99° F. (37·2° C.) and above the heart rate was nearly constant over a wide range of rectal temperatures below 110° F. (43·3° C). It averaged about 50 beats/min. less than in an equable climate.4. Above 110° F. (43·3° C.) there was an increase of about 30 beats/min./° F. (17 beats/min./° C.) rise in rectal temperature. The rate equalled that found in an equable climate, when the rectal temperature reached 111–112° F. (43·9–44·4° C). Over this zone of body temperature the fowls were often agitated.5. In severe heat stress there was a slight fall in the heart rate on acclimatization, but this was small compared with the effect of climate.6. In severe heat stress the heart rate during the day was slightly higher than that at night.7. The relation of these findings to the mechanism of temperature regulation is discussed.

show abstract

Das Verhalten der Schilddrüse und der Körpertemperatur bei der Adaptation an niedere Umgebungstemperaturen

Pichotha

1952

Festschrift Zum 75. Geburtstag

View full text Add to dashboard Cite

Die Wechselbeziehungen der Struktur und der biologischen Aktivität der Schilddrüse der Säugetiere und Vögel bei verschiedener Temperatur

Cited by 8 publications

References 6 publications

Le Sommeil Hibernal

Le Sommeil Hibernal

Physiological acclimatization of fowls to a hot humid environment

Das Verhalten der Schilddrüse und der Körpertemperatur bei der Adaptation an niedere Umgebungstemperaturen

Contact Info

Product

Resources

About