Au long de l’existence de la Revue d’histoire des sciences , le traitement de l’histoire naturelle et de l’évolutionnisme révèle des changements méthodologiques de la part des historiens des sciences de la vie conduisant, à partir des années soixante-dix, au développement de travaux plus richement problématisés. Le présent article analyse ces transformations et étudie particulièrement les textes publiés par la Revue sur l’évolutionnisme, la botanique et l’écologie.