Cue-dependent inhibition in posttraumatic stress disorder and attention-deficit/hyperactivity disorder

Abstract

Finding complement prior work on neurocognitive mechanisms underlying ADHD, PTSD, and ADHD+PTSD. Lack of expected group differences for the ADHD-only group may be due to limited power. Additional work is needed to better characterize distinctions among clinical groups, as well as to test effects among women and youth.

Impact of Chronic Stress on Attention Control: Evidence from Behavioral and Event-Related Potential Analyses

“…So it has been suggested that long-term stress may change brain function by impairing neural efficiency [31]. Moreover, individuals with post-traumatic stress disorder (PTSD) show deficits in attention allocation and emotional regulation when dealing with trauma cues, while those without PTSD are able to regulate emotions by directing attention away from threats [32].…”

L’état de stress post-traumatique impacte-t-il les fonctions d’inhibition et de flexibilité au-delà de la seule exposition à un trauma ? Une revue systématique de la littérature.

“…Ensuite, la tâche Go—No Go a été utilisée dans quatre études (Adams et al, 2017; Falconer et al, 2006; Jovanovic et al, 2013; Swick, Honzel, Larsen & Ashley, 2013). Adams et al (2017) et Swick et al (2013) ont mis en avant des temps de réaction plus variables chez les participants ESPT par rapport au groupe témoin, ainsi qu’un plus grand nombre d’erreurs (omissions et commissions) dans le groupe expérimental. Ces erreurs pourraient être dues à des difficultés d’inhibition (commissions), à un ralentissement psychomoteur ou à une altération des ressources attentionnelles (omissions).…”

“…Ensuite, la tâche Go-No Go a été utilisée dans quatre études (Adams et al, 2017;Falconer et al, 2006;Jovanovic et al, 2013;Swick, Honzel, Larsen & Ashley, 2013) Les auteurs ont également montré une corrélation négative entre les capacités d'inhibition et la sévérité totale de l'ESPT, les individus a `la symptomatologie la plus forte présentant les performances les plus faibles en inhibition (Falconer et al, 2006). DeGutis et al (2015) ont par ailleurs constaté le rôle unique du contrôle inhibiteur, tel que mesuré par la Continuous Performance Task, dans la prédiction de la sévérité des symptômes d'ESPT.…”

“… Adams et al (2017). etSwick et al (2013) ont mis en avant des temps de réaction plus variables chez les participants ESPT par rapport au groupe témoin, ainsi qu'un plus grand nombre d'erreurs (omissions et commissions) dans le groupe expérimental.…”