Coping in male partners of female problem drinkers

Surveying the range and magnitude of alcohol's harm to others in Australia

“…In Germany, 21% of frequent binge drinkers reported serious family quarrels, loss of family or friends, concern by friends and family or a physical fight or injury [12]—problems which strongly imply a negative effect on others. The view of other family members on problems from the drinker can be discerned in work in Britain by Orford and associates which finds that spouses and children of heavy drinkers are often critically affected [13–16]. Studies exploring such effects within friendship networks and work environments are sparse, and ways in which drinkers affect others' health, quality of life and use of medical and other support services have been largely neglected.…”

A Dyadic Growth Approach to Partner Regulation Attempts on Changes in Drinking and Negative Alcohol-Related Consequences

“…In the domain of alcohol use, increased partner drinking and perceiving one’s partner to have a drinking problem are associated with poorer relationship functioning (e.g., satisfaction, trust), and these associations are mediated by punishing strategies, not rewarding ones (Rodriguez, DiBello, & Neighbors, 2013; Rodriguez, DiBello, & Wickham, 2016). Further, Philpott and Christie (2008) found that when husbands of alcoholic wives emphasized the positive consequences of sobriety, the wives experienced less emotional, psychological, and marital distress. However, when husbands used confrontational coping techniques, wives reported greater distress.…”

La paternité dans un contexte de consommation maternelle abusive d’alcool et de drogues

“…Toutefois, plusieurs auteurs ont rapporté des relations abusives à la période anténatale (Frank, Brown, Johnson et Cabral, 2002;Philpott et Christie, 2008 (2007b) ont obtenu les résultats suivants : les consommateurs sont devenus pères plus jeunes que ceux du groupe de comparaison; ils ont eu, en plus grand nombre, des enfants avec plusieurs femmes avec qui la relation n'a pas duré, ils se sont conduits eux aussi au début comme des pères responsables, mais ils n'ont pu poursuivre leurs efforts dans le temps en raison de la sévérité et de la chronicité de leur consommation. Centrant leurs résultats autour du plus jeune enfant (moins de deux ans), les chercheurs n'ont pas trouvé de différences significatives entre les consommateurs et les nonconsommateurs ni au regard de la planification de la grossesse par le couple ni en ce qui a trait à leur présence à l'hôpital quand cet enfant est né.…”

“…Plusieurs études l'ont indiqué (Philpott et Christie, 2008;Velez, Montoya et Jansson et al, 2006). La nôtre en montre l'intensité, peu importe l'agresseur.…”