Les auteurs tiennent à remercier vivement M. Jean-Louis Chandon, rédacteur en chef de RAM, pour ses précieux conseils et commentaires constructifs. Ils remercient les lecteurs anonymes de RAM pour leurs commentaires et leurs suggestions qui ont permis d'améliorer la qualité de cet article. Les auteurs peuvent être contactés aux adresses électroniques suivantes : akrout_w@voila.fr ; hakrout@groupeinseec.com
S Y N T H È S E
RÉSUMÉLa confiance en B to B représente aujourd'hui un concept éclaté de multiples manières. Cet éclatement a engendré une pluralité très riche de recherches mais il a aussi entravé l'émergence d'une théorie cohérente. Le but de cet article est de présenter une vision synthétique, claire et critique à partir des travaux empiriques consacrés à ce concept pendant les vingt dernières années. Tout en explicitant les différentes acceptions, modélisations et mesures de ce concept, nous mettons en lumière leurs principales faiblesses. De nouvelles pistes et perspectives permettant de clarifier le statut de la confiance sont également proposées.