Consumer Activism for Social Change

Abstract

Consumer activism, or activism taken by consumers through participating in the market such as through boycotts or ethical shopping, is the most common form of political action in the United States aside from voting. Although consumer activism was a popular macro practice social work intervention by social work pioneers and has been an important part of many social change movements internationally, it is rarely discussed formally in the field of social work in the United States today. This article provides an overview of consumer activism as a social work intervention, describes historical and 21st century examples of consumer activism, and discusses the effectiveness of consumer activism. The article ends with a discussion of the strengths and challenges of consumer activism for social workers who engage in it either professionally or personally.

Selling stories of social justice. How consumers react to and learn from social ads

“…With the increasing importance of the Internet and globalization (Dodd, 2018), CSR activities have shifted due to new affordances to address consumers' aspirations. Lightfoot (2019) offers an overview of the history of consumer activism for the US and concludes that with the rise of the Internet connecting people and allowing everyone to spread information, companies have to take a position in the socio-political discourse to avoid shitstorms in the long run. Similarly, van der Meer and Jonkman (2021, p. 1) argue that "[w]ith the heightened social visibility of corporations, as a result of processes of mediatization, firms are pressured to engage with […] social issues that are part of broader political discourses" and that they "have become inherently intertwined with their mediatized and polarized socio-political surroundings."…”

Mouvements de consommateurs activistes : entre cadrage des fondateurs et auto-organisation des membres

“…Chaque individu peut rejoindre un mouvement et jouer un rôle d’activiste au travers de ses interactions en ligne et de sa consommation. Le développement du « cyberactivisme » est notamment fondé sur la facilité existante pour initier une campagne ou un boycott (McCaughey, 2014) ; facilité qui produit une suite ininterrompue d’actions d’activisme (Lightfoot, 2019). Mais cette expansion de l’activisme n’est pas que le résultat de développements technologiques, il est aussi la conséquence d’un changement de l’activisme lui-même qui a évolué vers de nouvelles formes de mouvements sociaux (Varman et Belk, 2009) au sein desquels l’émotion partagée joue un rôle majeur (Chatzidakis et al, 2021).…”

“…Longuenesse (2018) confirme l’usage croissant du mot ‘activiste’ en français, dans le sens élargi que lui donne l’anglais, celui d’engagement pour une cause, et non seulement dans celui restreint d’une réaction contre l’action d’une organisation ou d’un gouvernement. Au-delà de la figure du militant d’un mouvement politique ou syndical, l’activiste aujourd’hui est, en effet, une personne qui se mobilise pour favoriser un changement culturel ou social en prenant appui sur la consommation (Kozinets et Handelman, 2004 ; Lightfoot, 2019) avec comme conséquence que les nouvelles formes d’activisme ou de cyberactivisme peuvent ressembler à de l’activisme léger avec une implication beaucoup moins lourde que pour l’activisme politique traditionnel. C’est ce que Weijo et al (2018 : 261) qualifient « d’activisme bourgeois » pour le cas du Restaurant Day en Finlande au sens où la violence de l’activisme y est tempéré par des comportements de consommation peu virulents.…”

“…Longtemps étudiée en marge de la résistance (Roux, 2007) ou de la responsabilité des consommateurs (Özçağlar-Toulouse, 2009), cet activisme est aujourd’hui considéré comme un objet d’étude à part entière (Handelman et Fischer, 2018). Au centre de l’attention des chercheurs se trouvent les mouvements de consommateurs activistes qui, soit contestent l’action des marketeurs et de leurs organisations (Bouillé et al, 2014), soit se mobilisent pour favoriser un changement culturel en prenant appui sur la consommation (Kozinets et Handelman, 2004 ; Lightfoot, 2019). Au-delà des mouvements de consommateurs politisés comme celui de la lutte contre l’esclavage (Page, 2017), l’activisme collectif des consommateurs peut relever d’un activisme dit « light » assez éloigné du modèle canonique de l’activisme politique (Weijo et al, 2018).…”

Activist consumer movements: Founder framings versus member self-organisation

“…Long portrayed as an ancillary aspect of either consumer resistance (Roux, 2007) or responsibility (Özçağlar-Toulouse, 2009), activism of this kind is now considered an object of study in its own right (Handelman and Fischer, 2018). One core research topic within this corpus involves activist consumer movements, either because they are challenging actions taken by marketing specialists and/or the organisations for which they work (Bouillé et al, 2014); or else, because they are trying to foster consumption-based cultural change (Kozinets and Handelman, 2004; Lightfoot, 2019). Above and beyond politicised consumer movements, such as the fight against slavery (Page, 2017), collective consumer activism can also be seen as exemplifying a variant that is ‘lighter’ than the more canonical models of political activism are (Weijo et al, 2018).…”