“…L'étude portée au Maroc tend à montrer ainsi, comme dans le cas de l'enquête québécoise (Adihou, Squalli, Saboya, Tremblay, M. Lapointe, A., 2015) [5] et (Squalli, Larguier, Bronner, et Adihou, 2020) [29], qu'en proposant aux élèves des problèmes de type déconnecté (Bednarz, N. et Dufour-Janvier, B., 1992) [30], avant l'enseignement de la méthode algébrique conventionnelle de résolution de problèmes, cela pousse certains élèves à produire des raisonnements qui sont analytiques et des raisonnements qui ne sont ni synthétiques, ni analytiques. Nous avons enregistré aussi que les raisonnements de type essais erreurs peuvent être utilisés pour résoudre les problèmes déconnectés sans recours au raisonnement analytique, ils sont plus fréquents dans les recherches menées en France et au Canada, mais ils ne sont pas abordés dans les productions des élèves marocains de notre échantillon.…”