1980
DOI: 10.1051/rgn/19802161
|View full text |Cite
|
Sign up to set email alerts
|

Biologie et toxicité du plutonium

Help me understand this report

Search citation statements

Order By: Relevance

Paper Sections

Select...
2
1
1
1

Citation Types

0
0
0
17

Year Published

1983
1983
1997
1997

Publication Types

Select...
2

Relationship

0
2

Authors

Journals

citations
Cited by 2 publications
(17 citation statements)
references
References 0 publications
0
0
0
17
Order By: Relevance
“…a L'isotope 237 émet un rayonnement a , principalement de 4,79 Mev (47 %) et 4,77 Mev (25 %) et sa faible activité massique (26 MBq g-') permet I'observation des symptômes de la toxicité chimique du neptunium (Nenot, 1982). Bien qu'il soit difficile de prédire les états d'oxydation dans un système biologique pour l'uranium et les transuraniens, la forme la plus stable du neptunium en milieu biologique semble être l'état de valence 5+ (Taylor, 1989).…”
Section: -unclassified
See 4 more Smart Citations
“…a L'isotope 237 émet un rayonnement a , principalement de 4,79 Mev (47 %) et 4,77 Mev (25 %) et sa faible activité massique (26 MBq g-') permet I'observation des symptômes de la toxicité chimique du neptunium (Nenot, 1982). Bien qu'il soit difficile de prédire les états d'oxydation dans un système biologique pour l'uranium et les transuraniens, la forme la plus stable du neptunium en milieu biologique semble être l'état de valence 5+ (Taylor, 1989).…”
Section: -unclassified
“…Ceci distingue cet élément des plutonium et transplutoniens qui ont plutôt des valences de 3+ ou 4+. Cette particularité suggère alors pour le neptunium, un comportement biocinétique différent de celui des plutonium et transplutoniens, le rapprochant plutôt de celui des alcalino-terreux (Nenot, 1982).…”
Section: -unclassified
See 3 more Smart Citations