A Survey of Canadian Countertrade Practices with Asia‐Pacific Countries

Abstract

This study explores the attitudes of Canadian executives toward countertrade with Asia‐Pacific countries. This issue is important because many emerging markets in the region that are facing domestic and international pressures to keep country risk ratios satisfactory are expected to seek non‐debt‐creating trade and financing options like countertrade. Results indicate that while Canadian executives do recognize and appreciate customers' array of motives for countertrade requests, they clearly disregard the competitive advantage of adopting a more proactive and responsive stance. This observed lack of interest in countertrade strategy warrants concern. Countertrade, it will be argued, should represent an important component of Canada's Asia‐Pacific market entry strategy if it is to make significant market share gains. Résumé La présente étude analyse les attitudes des dirigeants canadiens à l'égard du commerce de contrepartie dans les pays de l'Asie et du Pacifique. Plusieurs marchés émergents de la région, pour faire suite aux pressions intérieures et Internationales, se doivent de conserver des ratios de risque satisfaisants. Ces marchés doivent chercher à obtenir des échanges qui ne créeront pas d'en‐dettement et qui comportent des choix de financement comme le commerce de contrepartie. Les résultats indiquent que les dirigeants canadiens reconnaissent et apprécient les motifs valables des clients en demandant un commerce de contrepartie, mais qu'ils oublient de s'y engager et de réagir activement à l'aspect compétitif du marché. Le manque d'intérět pour la stratégic du commerce de contrepartie que nous avons observé, démontre qu'il y a lieu de s'inquiéter. Le commerce de contrepartie devrait représenter une composante importante de la stratégie du Canada dans sa percée sur les marchés de l'Asie et du Pacifique. Cette composante est nécessaire pour acquérir rapidement de nouvelles parts du marché.

Determinants of inward foreign direct investment: the case of the Netherlands

“…Ramaswami (1992)'s useful response rate was 18 percent (97 firms). Strizzi and Kindra (1997)'s response rate is 22 percent (N=61). Tucker et al (1992)'s response rate is 20 percent (N=241).…”