A Monstrous(ly-Feminine) Whiteness: Gender, Genre, and the Abject Horror of the Past in <i>American Horror Story: Coven</i>

King, Amy K.

doi:10.1080/00497878.2017.1356302

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“…Reste que la majorité des travaux sur la blanchité dans le genre de l'horreur portent sur des films ou séries spécifiques (King 2017 ;LeBlanc 2018 ;Hamad 2020), et n'abordent ainsi le genre en tant que tel que de manière indirecte, à l'image de l'article d'Hélène Charlery publié dans ce numéro, qui souligne comment Get Out mobilise les conventions raciales de l'horreur pour mieux les renverser en construisant finalement la féminité…”

Section: Blanchité « En Crise »unclassified

Visages blancs sur fond blanc : étudier les représentations de la blanchité à l’écran

Sandeau¹

2022

miranda

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Cet article propose un panorama historique des travaux sur les représentations de la blanchité à l'écran. Il fait office d'introduction au numéro 24 de la revue Miranda, qui rassemble cinq articles originaux, ainsi que quatre traductions françaises d'articles ayant participé à l'émergence de ce champ de recherche outre-Manche et outre-Atlantique à partir de la fin des années 1980. En effet, si la problématique des représentations de la blanchité a été jusqu'ici ignorée par les études filmiques françaises, elle a déjà fait l'objet de travaux importants dans le contexte anglophone depuis un peu plus de trois décennies.Voir la blanchité : les critical white studies 2 Ces travaux s'inscrivent plus largement dans le champ des critical white studies, qui étudient « la construction sociale et historique des identités blanches et son articulation avec le racisme » (Cervulle 2013, 49). Ce champ s'est constitué en tant que tel en Grande-Bretagne et aux États-Unis dans les années 1980-1990, à la croisée de l'histoire marxiste états-unienne (

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Section: Blanchité « En Crise »unclassified

Visages blancs sur fond blanc : étudier les représentations de la blanchité à l’écran

Sandeau¹

2022

miranda

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Supernatural Gender

Chandler¹

2020

The International Encyclopedia of Gender, Media, and Communication

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Across screen media genres, supernatural beings have been used as abject subjects who disrupt conventions of social order. In challenging boundaries and borderlines between categories, witches, werewolves, and zombies provide a locus for anxieties around shifting gender norms. I Married a Witch (dir. René Clair, 1942), Season of the Witch (dir. Dominic Sena, 2011), The Craft (dir. Andrew Fleming, 1996), Sabrina the Teenage Witch (1996–2003), Charmed (1998–2006), American Horror Story: Coven (2013–2014), and The Witch (dir. Robert Eggers, 2015) explore changing notions of feminine power and sexuality using the figure of the witch. In An American Werewolf in London (dir. John Landis, 1981), The Company of Wolves (dir. Neil Jordan, 1984), Buffy the Vampire Slayer (1997–2003), Ginger Snaps (dir. John Fawcett, 2000), Being Human (2008–2013), Dog Soldiers (dir. Neil Marshall, 2002), and Trick ‘r Treat (dir. Michael Dougherty, 2007), male werewolves succumb to, or revel in, an innate bestial masculinity, whereas female werewolves defy conventional femininity by expressing aggression and rage. Post‐9/11, films and television such as 28 Days Later (dir. Danny Boyle, 2002), Shaun of the Dead (dir. Edgar Wright, 2004), Zombieland (dir. Ruben Fleischer, 2009), World War Z (dir. Marc Forster, 2013), In the Flesh (2013–2014), The Walking Dead (2010–present), and The Girl With All the Gifts (dir. Colm McCarthy, 2016) focus on social prejudice and the breakdown and reconstitution of patriarchy in an age of terrorism and global pandemics, using the trope of the zombie apocalypse.

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Claire Underwood: Feminist Warrior or Shakespearean Villain? Re-visiting Feminine Evil in House of Cards

Tunç

2020

Female Agencies and Subjectivities in Film and Television

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A Monstrous(ly-Feminine) Whiteness: Gender, Genre, and the Abject Horror of the Past in American Horror Story: Coven

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Visages blancs sur fond blanc : étudier les représentations de la blanchité à l’écran

Visages blancs sur fond blanc : étudier les représentations de la blanchité à l’écran

Supernatural Gender

Claire Underwood: Feminist Warrior or Shakespearean Villain? Re-visiting Feminine Evil in House of Cards

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