“…Après avoir connu souvent l'expérience de l'errance, la création d'un chez-soi, par l'habiter et l'alimentation (Matta, De Suremain et Crenn, 2020) chaleureux. Plus qu'une simple pause dans leur parcours migratoire, qui s'avère être un véritable parcours du combattant, le squat peut être un réel « espace de résidence » (Bouillon, 2007) que les habitants rendent propre, dans le sens de l'appropriation, définit comme la manière de « […] l'adapter à soi et, ainsi, de transformer [le logement] en un support de l'expression de soi » (Serfaty-Garzon, 2002) et auquel elles s'attachent (Bergeon, op. cit.).…”