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Meroë, capital of Ethiopian kings up to the first centuries AD, is an extraordinary culture. Its inscriptions are in its own Meroitic script or in Egyptian or sometimes in Greek – a reminder of its links through Egypt to the larger Mediterranean world nearly 2000 kilometres to the north. And what about the end of Meroeë Did it collapse to barbarians? Or did it take its own course?
Aristocratiques, royales ou impériales, les tombes tardives de l’Empire méroïtique sont assez souvent collectives. Certains tombeaux souverains abritant sous pyramide ou sous tumulus jusqu'à vingt squelettes, les inventeurs des cultures méroïtique et postméroïtique ont imaginé une théorie du sacrifice humain : serviteurs, harem, voire épouse auraient été immolés pour accompagner leur maître dans l’au-delà. La conception initiale est marquée idéologiquement par l’époque des premières découvertes.
De nos jours plus prudente, l’interprétation décrit le caractère triomphal de certaines liturgies funéraires. Tirant parti de l’iconographie des chapelles pyramidales comme de l'archéographie des vestiges sous pyramides ou sous grands tumulus, le sacrifice humain abondant est désormais apparenté au sacrifice de certains animaux impériaux et associé à l'enfouissement d’un armement triomphal spécifique. Il devient un massacre de prisonniers.
La nouvelle théorie prépare une vérification de terrain lors de la fouille des derniers tumulus impériaux. Elle rend compte seulement des massacres abondants. Les massacres plus restreints doivent être analysés en fonction de la tombe collective, aristocratique ou commune, dont on ne sait encore si elle peut être familiale, faute d'étude générale.
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