Les ceufs de la pyrale du mais, Ostrinia nubilalis (Hfibner), sont tr~s sensi-"bles h Metarhizium anisopliae (Metsch.)/Sorokin et Paecilomyces fumosoroseus (Wize) (Brown-Smith). Toutes conditions 6gales par ailleurs, les premiers stades larvaires meurent plus rite mais dans une proportion plus faible que les stades plus ~g6s. Beauveria bassiana (Bals.) (Vuillemin) n ~ 147 et M. anisopliae n ~ 139 sont particuli~rement pathog~nes pour ce stade tandis que P. fumoso-roseus attaque facilement les chrysalides. Par adjonction d'une dose faible de chlorpyriphos on sensibilise les larves h la mycose.Les chenilles diapausantes sont tr~s sensibles ~ la mycose puisque m6me des doses tr~s faibles (40 sp/cm 2) tuent plus de 50 % de la population.
Le pouvoir larvicide des cultures totales de 22 varirtrs de Bacillus thuringiensis BERLINER reprrsentant 15 srrotypes H a 6t6 test6 sur larves L4 d'Aedes aegypti (L.) Culex pipiens pipiens (L.) et Anopheles stephensi (LISTON). Seul le srrotype H 14, vari~t6 israelensis, est rrellement actif, provoquant 100 ~ de mortalit+ la dilution 10-5. Avec des doses beaucoup plus fortes, 10-z, une certaine toxicit6 peut 8tre manifestre par les varirtOs entomocidus, galleriae et kyushuensis en ce qui concerne Ae. aegypti et C. pipiens pipiens, ou par les vari~trs entomocidus, tolworthi, kyushuensis et aizawai, pour An. stephensi. Cependant cette activit6 n'a rien de comparable avec celle de la varirt6 israelensis.
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