SummaryDropping counts were used to assess elephant abundance in the remote forests of northeastern Gabon where there are few people and no logging. Elephants prefer the secondary forest which grows on abandoned villages and plantations, but avoid roads and villages. Thus elephant distribution is governed by the distribution of both past and present human settlement, even in the remotest and least disturbed forests of equatorial Africa.RésuméOn a évalué l'abondance des éléphants en comptant les excréments, dans les forêts reculées du nord‐est du Gabon, là où il n'y a que peu de gens et aucun abattage d'arbres. Les éléphants préférent les forêts secondaires qui poussent dans les villages et les plantations abandonnés, mais évitent routes et villages. Donc, la distribution des éléphants est régie par la répartition des installations humaines présentes et passées, même dans les forêts les plus reculées et les moins troublées d'Afrique équatoriale.

The number of elephants living in the forests of Gabon was estimated by a stratified dung survey. The forest zone was stratified according to the distribution of the human population. The density of dung-piles was estimated for each stratum by the line-transect method. The total number of dung-piles in the forests of Gabon was estimated to be 52.43 × 106 ± 13.25 × 106. This gave an elephant estimate of 61,800 ±20,200. This survey shows Gabon to have one of the largest elephant populations on the continent.

No abstract

Summary Data from a dropping decay experiment were re‐analysed following the finding by other workers that decay is not an exponential process. Methods based on the assumption of constant age‐specific decay gave biased estimates of the mean decay rate for the population of droppings. The best estimate was obtained by weighting the decay rate by the frequency of droppings in each age‐class. Résumé On a réanalysé les résultats d'une expérience sur la décomposition des excréments suite au fait que d'autres chercheurs avaient trouvé que la décomposition n'est pas un processus exponentiel. Les méthodes basées sur l'hypothèse d'une décomposition constante liée à l'âge donnent des estimations biaisées du taux moyen de décomposition pour l'ensemble des excréments. On a obtenu la meilleure estimation en mettant en balance le taux de décomposition et la fréquence des déjections pour chaque classe d'âge.

SummaryThe baobab tree population of the Msembe study area was surveyed for the third time in 1989. Although tree density had dropped between the 1976 and 1982 surveys, there was no significant change between 1982 and 1989, probably because most bull éléphants had been killed by poachers. The change in the baobab size distribution between 1976 and 1989 is similar to that predicted by a model simulating the effects of elephant browsing on baobabs. It suggests that elephant browsing has a different effect on baobab numbers compared with browsing on other tree populations in the same study area.RésuméLa population de baobabs de la zone d'étude de Msembe fut étudiée pour la troisième fois en 1989. Bien que la densité de arbres ait chuté entre les études de 1976 et de 1982, on n'a pas constaté de changement significatif entre 1982 et 1989, probablement parce que la plupart des éléphants mâles avaient été tuéus par des braconniers.Le changement dans la distribution des tailles des baobabs entre 1976 et 1989 est similaire à celui prédit par un modèle simulant les effets des éléphants se nourrissant sur les baobabs. Ceci suggère que le nourrissage des éléphants a un effet différent sur le nombre de baobabs que sur d'autres populations d'arbres dans la même zone d'étude.