Abstract. The paper develops and analyzes a model of a firm's market value as it relates to contemporaneous and future earnings, book values, and dividends. Two owners' equity accounting constructs provide the underpinnings of the model: the clean surplus relation applies, and dividends reduce current book value but do not affect current earnings. The model satisfies many appealing properties, and it provides a useful benchmark when one conceptualizes how market value relates to accounting data and other information. Résumé. L'auteur élabore et analyse un modèle dans lequel il conceptualise la relation entre la valeur marchande d'une entreprise et ses bénéfices, ses valeurs comptables et ses dividendes actuels et futurs. Deux postulats de la comptabilisation des capitaux propres servent de charpente au modèle: a) la relation du résultat global s'applique et b) les dividendes réduisent la valeur comptable actuelle sans influer, cependant, sur les bénéfices actuels. Le modèle présente de nombreuses propriétés intéressantes et il peut, fort utilement, servir de repère dans la conceptualisation de la relation entre la valeur marchande et les données comptables et autres renseignements.
Abstract. This paper models the relation between a firm's market value and accounting data concerning operating and financial activities. Book value equals market value for financial activities, but they can differ for operating activities. Market value is assumed to equal the net present value of expected future dividends, and is shown, under clean surplus accounting, to also equal book value plus the net present value of expected future abnormal earnings (which equals accounting earnings minus an interest charge on opening book value). A linear model specifies the dynamics of an information set that includes book value and abnormal earnings for operating activities. Model parameters represent persistence of abnormal earnings, growth, and accounting conservatism. The model is sufficiently simple to permit derivation of closed form expressions relating market value to accounting data and other information. Three kinds of analyses develop from the model. The first set deals with value as it relates to anticipated realizations of accounting data. The second set examines in precise terms how value depends on contemporaneous realizations of accounting data. The third set examines asymptotic relations comparing market value to earnings and book values, and how earnings relate to beginning of period book values. The paper demonstrates that in all three sets of analyses the conclusions hinge on the extent to which the accounting is conservative as opposed to unbiased. Further, the absence/presence of growth in operating activities is relevant if, and only if, the accounting is conservative. Résumé. Les auteurs présentent sous forme de modèle la relation entre la valeur marchande d'une entreprise et les données comptables relatives à ses activités d'exploitation et ses activités financières. La valeur comptable est égale à la valeur marchande lorsqu'il s'agit d'activités financières, mais elle peut être différente dans le cas des activités d'exploitation. Les auteurs supposent que la valeur marchande est égale à la valeur actualisée nette des dividendes futurs prévus et démontrent que, lorsqu'on applique la méthode du résultat global, la valeur marchande est aussi égale à la valeur comptable additionnée de la valeur actualisée nette des bénéfices extraordinaires futurs prévus (qui sont égaux aux bénéfices comptables diminués de frais d'intérêt implicites sur la valeur comptable nette). Un modèle linéaire précise la dynamique d'un ensemble de données, incluant la valeur comptable et les bénéfices extraordinaires, relatives aux activités d'exploitation. Les paramètres du modèle traduisent la persistance des bénéfices extraordinaires, la croissance et le principe de prudence. Le modèle est suffisamment simple pour permettre de dériver des expressions fermées qui mettent en relation la valeur marchande et les données comptables et autres. Du modèle se dégagent trois formes d'analyses. La première porte sur la valeur, dans sa relation avec la matérialisation anticipée des données comptables. La deuxième porte sur l'examen p...
This paper develops a parsimonious model relating a firm's price per share to, (i), next year expected earnings per share (or 12 months forward eps), (ii), short-term growth (FY-2 versus FY-l) in eps, (iii), long-term (asymptotic) growth in eps, and, (iv), cost-of-equity capital. The model assumes that the present value of dividends per share (dps) determines price, but it does not restrict how the dps-sequence is expected to evolve. All of these aspects of the model contrast sharply with the standard (Gordon/Williams) text-book approach, which equates the growth rates of expected eps and dps and fixes the growth rate and the payout rate. Though the constant growth model arises as a peculiar special case, the analysis in this paper rests on more general principles, including dividend policy irrelevancy. A second key result inverts the valuation formula to show how one expresses cost-of-capital as a function of the forward eps to price ratio and the two measures of growth in expected eps. This expression generalizes the text-book equation in which cost-of-capital equals the dps-yield plus the growth in expected eps.
This paper revisits Ohlson 1995 to make a number of points not generally appreciated in the literature. First, the residual income valuation (RIV) model does not serve as a crucial centerpiece in the analysis. Instead, RIV plays the role of condensing and streamlining the analysis, but without any effect on the substantive empirical conclusions. Second, the concept of "other information" in the model can be given concrete empirical content if one presumes that next-period expected earnings are observable. CondenséDans une récente publication, Dechow, Hutton et Sloan (1998) (DHS ci-après) analysent une évaluation empirique du modèle de la valeur et des données comptables, proposé par Ohlson en 1995 (« Earnings, Book Values, and Dividends in Equity Valuation », EBD ciaprès). L'étude de DHS fournit, selon ses auteurs, « une évaluation empirique du modèle d'évaluation du résultat résiduel (ou anormal) proposé par Ohlson [1995] ». Comparativement aux autres études empiriques se rapportant aux analyses de Ohlson et de Feltham et Ohlson (1995), celle de DHS a pour but de lier de manière beaucoup plus étroite les évaluations empiriques aux attributs du modèle EBD. Les équations liées au modèle EBD n'ont pas pour seul résultat de légitimer sommairement l'étude de DHS : elles portent sur le comportement autorégressif du résultat net résiduel et permettent d'estimer le paramètre connexe de « régularité » (ou sa dépendance sériale, dénotée ω ). DHS évaluent ensuite la mesure dans laquelle les estimations du paramètre de régularité contribuent à expliquer les valeurs à la cote et les rendements. Cette méthode semble logique, du fait que le résultat résiduel et le résultat résiduel imprévu, en conjonction avec le paramètre de régularité, se rattachent directement à la valeur et aux rendements dans le modèle EBD. DHS comparent également les résultats empiriques basés sur le modèle EBD à certains éléments de référence populaires comme les modèles d'évaluation basés sur les prévisions de bénéfices des analystes.Répliquant à l'étude de DHS, l'auteur s'intéresse à deux questions étroitement liées : Premièrement, pourquoi le modèle EBD est-il axé sur le résultat net résiduel ? Deuxièmement, quelles hypothèses empiriques peut-on inférer à partir du modèle EBD ? La première question nécessite une analyse du rôle du modèle d'évaluation du résultat net résiduel ( residual income valuation model ou RIV-model ). Maints auteurs ont traité de ce modèle d'évaluation et d'autres, DHS attachent une importance considérable à l'évaluation du résultat net résiduel dans le contexte du modèle EBD. Pour ce qui est de la seconde question, DHS devaient aborder le sujet de ce qu'EBD appellent l'« autre information ». EBD conceptualisent cette information au moyen d'une variable scalaire, mais sans en concrétiser le contenu empirique. La variable n'étant pas spécifiée, DHS considèrent cet aspect du modèle EBD comme une limite très importante du point de vue empirique. Ils choisissent de supprimer la variable du modèle. Le procédé de DHS paraît radical...
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