Background: Prior studies have examined the relationship between obesity and adverse outcomes after reduction mammaplasty, suggesting a correlation between increasing body mass index (BMI) and postoperative complications. However, there is little data published regarding such correlation with respect to short-scar technique. Methods: A total of 236 patients underwent short-scar mammaplasty with a superomedial pedicle from 2008 to 2014. The procedure was performed by a single surgeon at an academic medical center. Adverse outcomes included delayed healing, major wounds, nipple necrosis, fat necrosis, seroma, hematoma, infection, revision, and dog ear deformities. Univariate and multivariate logistic regression analyses were used to calculate crude and adjusted odds ratios for the association of BMI category with the development of any adverse outcome. Results: Patients were grouped by the following BMI categories: <25 kg/m 2 (n ¼ 27), 25 to <30 kg/m 2 (n ¼ 71), 30 to <35 kg/ m 2 (n ¼ 73), 35 to <40 kg/m 2 (n ¼ 45), and >40 kg/m 2 (n ¼ 20). The mean follow-up period was 260 days. The total complication rate in each group was 22.2%, 23.9%, 27.4%, 33.3%, and 45.0%, respectively. Although the proportion of patients experiencing at least 1 adverse outcome increased across the ascending BMI categories (P trend ¼ .145), there was no statistically significant difference between the groups. Conclusion: This study of 236 patients who underwent short-scar reduction mammaplasty found a positive trend in the incidence of adverse outcomes as BMI increased. However, this was not statistically significant. Résumé Historique : Desétudes antérieures ont porté sur le lien entre l'obésité et lesévénements indésirables après une mammoplastie de réduction, laissant supposer un lien entre l'augmentation de l'indice de masse corporelle (IMC) et les complications postopératoires. Cependant, peu de données sont publiées sur cette corrélation et la technique à petite cicatrice. Méthodologie : Entre 2008 et 2014, un total de 236 patientes a subi une mammoplastie avec petite cicatrice à l'aide d'un pédicule supériomédian. Un seul chirurgien a effectué l'intervention dans un centre hospitalier universitaire. Lesévénements indésirables incluaient le retard de la cicatrisation, les plaies majeures, la nécrose du mamelon, la nécrose des graisses, le sérome, l'hématome, l'infection, la révision et les déformations cornées. Les chercheurs ont utilisé l'analyse par régression logistique univariée et multivariée pour calculer le rapport de cotes (RC) brut et rajusté etétablir l'association entre la catégorie d'IMC et l'apparition d'événements indésirables. Résultats : Les patientesétaient regroupées selon les catégories d'IMC suivantes : moins de 25 kg/m 2 (n ¼ 27), 25 à moins de 30 kg/m 2 (n ¼ 71), 30 à moins de 35 kg/m 2 (n ¼ 73), 35 à moins de 40 kg/m 2 (n ¼ 45) et plus de de 40 kg/m 2 (n ¼ 20).