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Field and laboratory studies were used to study the influence of temperature and O 2 on the bioremediation of diesel-fuel contaminated soil. Field data were obtained from a landfarm located in Northern Ontario, whereas laboratory experiments were conducted using bioreactors containing diesel-spiked soil and contaminated soil from the field site. Laboratory and field degradation rates were quantified based on changes in the total petroleum hydrocarbons concentration and some individual components, as well as by monitoring O 2 consumption and CO 2 evolution. A degradation rate correlation was developed from the laboratory data. Based on comparison with the laboratory data, the slow rate observed in the field was likely due to low O 2 concentrations at the site.Résumé : Des études sur le terrain et en laboratoire ont été utilisées pour étudier l'influence de la température et de l'oxygène sur la bio-réhabilitation de sols contaminés par du carburant diesel. Des données de terrain ont été obtenues d'un territoire agricole situé dans le nord de l'Ontario, tandis que des expériences en laboratoire ont été conduites en utilisant des bio-réacteurs contenant des sols injectés de diesel et des sols contaminés provenant du site. Les taux de dégradation en laboratoire et sur le terrain ont été quantifiés sur la base de changements dans les concentrations totales d'hydro-carbones de pétrole et de quelques constituants individuels, et par la surveillance de la consommation en oxygène et de l'évolution du dioxyde de carbone. Une corrélation du taux de dégradation a été développée à partir des données de laboratoire. Basé sur la comparaison avec les données en laboratoire, le taux lent observé sur le terrain était probablement dû aux basses concentrations en oxygène sur le terrain.Mots clés : bio-réhabilitation, carburant diesel, sol non saturé, climat froid, taux de dégradation.[Traduit par la Rédaction] 140 Zytner et al.