“…Averett, Benson et Vaillancourt (2008) ainsi que Hammers (2009) sont parmi les auteures et les auteurs s'étant penchés sur la question qui ont le mieux défini le concept d'agentivité sexuelle (sexual agency). Ils ont indiqué à la fois les comportements qui pouvaient être considérés comme « agentiques 3 » (agentic) et ceux qui ne l'étaient pas.…”
Section: Vers Une Définition De L'agentivité Sexuelleunclassified
“…Selon Averett, Benson et Vaillancourt (2008), l'agentivité sexuelle peut s'exprimer dans le fait de refuser de participer à des actes sexuels. Cependant, pour qu'un comportement soit qualifié d'agentique, il doit être exercé sur des bases de confiance et de liberté.…”
Section: L'agentivité Et Le Courant Just Say Nounclassified
“…Car le discours de protection, si inapproprié qu'il puisse être, reste pertinent dans la mesure où il a pour objet de protéger les jeunes et les enfants de l'abus des adultes (ou des autres jeunes de leur âge, car il peut y avoir de l'abus entre jeunes). Averett, Benson et Vaillancourt (2008), par l'entremise d'une analyse qualitative, ont étudié la manière dont l'agentivité sexuelle s'exprimait concrètement dans la vie de 14 jeunes femmes. À leur avis, certains facteurs peuvent influer sur l'expression de l'agentivité sexuelle des femmes et des filles.…”
Section: L'agentivité Et Le Discours Sur La Dangerosité Et La Vulnéraunclassified
Dans les études anglophones sur les jeunes et sur les femmes, un nouveau concept émerge : l’agentivité sexuelle (sexual agency). Terme peu usité en anglais, et encore moins en français, l’agentivité sexuelle fait référence à l’idée de « contrôle » de sa propre sexualité, c’est-à-dire à la capacité de prendre en charge son propre corps et sa sexualité. Ce concept, qui considère les femmes et les adolescentes comme des « agentes » actives plutôt que comme de potentielles « victimes » du désir masculin, pourrait permettre au discours sur l’hypersexualisation de sortir de l’impasse dans laquelle il se trouve actuellement. Par la recension d’écrits de plusieurs auteures et auteurs clés sur le sujet, cet article veut définir le concept de façon qu’il puisse servir, notamment, dans les travaux sur la sexualité des femmes et des adolescentes. Il propose également des façons de l’opérationnaliser.In English-language studies on youth and women, a new concept is emerging: sexual agency. While the term is rarely used in informal English, it appears even less frequently in French. Sexual agency refers to one’s capacity to be in control of one’s sexuality, or the capacity to take charge of one’s own body and sexuality. The concept considers women and girls as agents able to act and make decisions, rather than potential victims of masculine desire. From this viewpoint, it could help break the deadlock in which the hypersexualization discourse has found itself. This article offers a review of diverse key articles on the subject in an attempt to define the concept in terms that make it useful for research on teenage girls’ and young women’s sexuality. It also proposes ways to operationalize it
“…Averett, Benson et Vaillancourt (2008) ainsi que Hammers (2009) sont parmi les auteures et les auteurs s'étant penchés sur la question qui ont le mieux défini le concept d'agentivité sexuelle (sexual agency). Ils ont indiqué à la fois les comportements qui pouvaient être considérés comme « agentiques 3 » (agentic) et ceux qui ne l'étaient pas.…”
Section: Vers Une Définition De L'agentivité Sexuelleunclassified
“…Selon Averett, Benson et Vaillancourt (2008), l'agentivité sexuelle peut s'exprimer dans le fait de refuser de participer à des actes sexuels. Cependant, pour qu'un comportement soit qualifié d'agentique, il doit être exercé sur des bases de confiance et de liberté.…”
Section: L'agentivité Et Le Courant Just Say Nounclassified
“…Car le discours de protection, si inapproprié qu'il puisse être, reste pertinent dans la mesure où il a pour objet de protéger les jeunes et les enfants de l'abus des adultes (ou des autres jeunes de leur âge, car il peut y avoir de l'abus entre jeunes). Averett, Benson et Vaillancourt (2008), par l'entremise d'une analyse qualitative, ont étudié la manière dont l'agentivité sexuelle s'exprimait concrètement dans la vie de 14 jeunes femmes. À leur avis, certains facteurs peuvent influer sur l'expression de l'agentivité sexuelle des femmes et des filles.…”
Section: L'agentivité Et Le Discours Sur La Dangerosité Et La Vulnéraunclassified
Dans les études anglophones sur les jeunes et sur les femmes, un nouveau concept émerge : l’agentivité sexuelle (sexual agency). Terme peu usité en anglais, et encore moins en français, l’agentivité sexuelle fait référence à l’idée de « contrôle » de sa propre sexualité, c’est-à-dire à la capacité de prendre en charge son propre corps et sa sexualité. Ce concept, qui considère les femmes et les adolescentes comme des « agentes » actives plutôt que comme de potentielles « victimes » du désir masculin, pourrait permettre au discours sur l’hypersexualisation de sortir de l’impasse dans laquelle il se trouve actuellement. Par la recension d’écrits de plusieurs auteures et auteurs clés sur le sujet, cet article veut définir le concept de façon qu’il puisse servir, notamment, dans les travaux sur la sexualité des femmes et des adolescentes. Il propose également des façons de l’opérationnaliser.In English-language studies on youth and women, a new concept is emerging: sexual agency. While the term is rarely used in informal English, it appears even less frequently in French. Sexual agency refers to one’s capacity to be in control of one’s sexuality, or the capacity to take charge of one’s own body and sexuality. The concept considers women and girls as agents able to act and make decisions, rather than potential victims of masculine desire. From this viewpoint, it could help break the deadlock in which the hypersexualization discourse has found itself. This article offers a review of diverse key articles on the subject in an attempt to define the concept in terms that make it useful for research on teenage girls’ and young women’s sexuality. It also proposes ways to operationalize it
“…Parents report that they are interested in being informed of what sexual health topics are being discussed in school-based programs in order that they may actively participate in their child's health education (Jordan, Price, & Fitzgerald, 2000), and are able to take part in content development for school-based sexual health education (Smith, Buzi, Weinman, & Mumford, 2001). Parents also indicate that they would like more involvement with school-based programs, especially how to integrate different topics into sexuality discussions occurring in the family setting (Davies, Horton, Williams, Martin, & Stewart, 2009 Other research indicates that parents are very willing to openly discuss sexuality topics related to relationships and dating behaviour (Averett et al, 2008;Heisler, 2005;Ogle et al, 2008). Parents are also likely to discuss topics related to morals and abstinence (Heisler, 2005;Matyastick et al, 2008).…”
Section: Parents Respond To Sexuality Of Youthmentioning
confidence: 99%
“…Despite the health and relational benefits of communicating about sexual identity between parents and youth, research indicates sexual identity is a topic that is avoided by both parents and youth (Averett, Benson, & Vaillancourt, 2008;Brock & Jennings, 1993;Guerrero & Afifi, 1995;Ogle, Glasier, & Riley, 2008;Peremans et al, 2000;Sutton, Brown, Wilson, & Klein, 2002; see also Jones et al, 2005). Some researchers suggest that youth think twice about discussing sexuality with their parents because they anticipate a negative response from parents.…”
Section: "I 'Ve Learned You Have To Be Very Consistent Where My Mom'mentioning
scite is a Brooklyn-based organization that helps researchers better discover and understand research articles through Smart Citations–citations that display the context of the citation and describe whether the article provides supporting or contrasting evidence. scite is used by students and researchers from around the world and is funded in part by the National Science Foundation and the National Institute on Drug Abuse of the National Institutes of Health.