1995
DOI: 10.1111/j.1399-6576.1995.tb05594.x
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Wound infiltration with ropivacaine and bupivacaine for pain after inguinal herniotomy

Abstract: In a double-blind, randomized study, 32 patients scheduled for elective inguinal herniotomy under general anaesthesia received subcutaneous infiltration with 40 ml ropivacaine 2.5 mg/ml or bupivacaine. Postoperative pain intensity was assessed repeatedly for 24 hours at rest, during cough and movement on a visual analogue scale (VAS) and by means of pressure algometry. No differences between pain intensities or wound tenderness were found between the groups. The demand for analgesics was similar in the two gro… Show more

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“…Elle est ré alisé e par l'injection d'un produit anesthé siant dans les espaces sous-cutané et/ou musculo-aponé vrotique, l'objectif é tant une diffusion large de l'anesthé siant et ainsi le blocage des conductions nerveuses responsables de l'hyperalgé sie secondaire. Les anesthé siques locaux injecté s au niveau de la cicatrice pour la prise en charge de la douleur postopé ratoire ont é té é valué s dans diffé rents types de chirurgie : hernies inguinales, cholé cystectomies, hysté rectomies par voie haute, chirurgie abdominale, mastectomies, prothè se totale de genou [2][3][4][10][11][12][13][14][15]. Les donné es de la litté rature sont discordantes avec, parfois, un effet analgé sique des infiltrations parié tales et sur une duré e limité e de quatre à 12 heures en raison de la composante plurifactorielle de la douleur : cutané e, musculo-aponé vrotique et viscé rale et de la difficulté à infiltrer le produit anesthé sique dans l'ensemble des plans anatomiques [10].…”
Section: Discussionunclassified
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“…Elle est ré alisé e par l'injection d'un produit anesthé siant dans les espaces sous-cutané et/ou musculo-aponé vrotique, l'objectif é tant une diffusion large de l'anesthé siant et ainsi le blocage des conductions nerveuses responsables de l'hyperalgé sie secondaire. Les anesthé siques locaux injecté s au niveau de la cicatrice pour la prise en charge de la douleur postopé ratoire ont é té é valué s dans diffé rents types de chirurgie : hernies inguinales, cholé cystectomies, hysté rectomies par voie haute, chirurgie abdominale, mastectomies, prothè se totale de genou [2][3][4][10][11][12][13][14][15]. Les donné es de la litté rature sont discordantes avec, parfois, un effet analgé sique des infiltrations parié tales et sur une duré e limité e de quatre à 12 heures en raison de la composante plurifactorielle de la douleur : cutané e, musculo-aponé vrotique et viscé rale et de la difficulté à infiltrer le produit anesthé sique dans l'ensemble des plans anatomiques [10].…”
Section: Discussionunclassified
“…Dans le cadre de la pré vention des douleurs aprè s cé sarienne, les anesthé siques locaux é tudié s (lidocaïne, bupivacaïne et ropivacaïne) ont montré une ré duction significative des scores de douleurs, de l'EVA au repos et à l'effort jusqu'à 50 % dans les groupes traité s et avec une diminution maximale durant les 24 premiè res heures du postpartum. De plus, cette diminution de la douleur é tait associé e à une diminution de la consommation d'antalgiques, notamment morphiniques, en postopé ratoire, et à une ré duction de la duré e d'hospitalisation des patientes [1][2][3][4][5][6][7][8][9][10][11][12][13][14][15][16][17][18]. Par ailleurs, Yndgaard et al [19] ont montré qu'une meilleure ré duction des douleurs est obtenue par une injection profonde, englobant l'aponé vrose, des anesthé siques locaux dans les chirurgies abdominales.…”
Section: Discussionunclassified
“…Incisional infiltration with local anesthetics has been documented to improve postoperative pain control after inguinal hernia repair or laparoscopic cholecystectomy. 2 Infiltration with local anesthetics may also participate in providing adequate pain control after hemorrhoidal surgery. Ropivacaine is a long-acting local anesthetic that is less cardiotoxic than bupivacaine, which is also commonly used to produce long-lasting anesthesia and analgesia.…”
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“…A minimum concentration may be sufficient to prolong its effect without unduly contributing to contradictory vasodilatation in the postoperative period causing hematoma formation. Lastly, may be it is the moment to introduce the concept of pre-emptive analgesia [Tuerskoy 199o, Bugedo 199o, Dueholm 1989] in all its possible dimensions (preincisional local infiltration with long-acting local anesthetic and non-opiate analgesic, [Ben 1995, Erichsen 1995, and preincisional parenteral opiate and non-opiate analgesics. Other non-steroidal anti-inflammatory drugs, like ketorolac, have been used for this purpose [Connelly 1997].…”
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