Adolescents' views of and preferences for sexual and reproductive health services highlight promising directions and persistent challenges in preventing pregnancy and HIV and treating sexually-transmitted infections (STIs) in this population. Results from nationally-representative surveys of 12-19 yearolds in Burkina Faso, Ghana, Malawi and Uganda in 2004 show that contraceptive and STI services and HIV testing are still under-utilized. A substantial proportion of sexually-active adolescents do not know of any source to obtain contraception or get STI treatment, and social-psychological reasons (e.g., embarrassment or fear) and financial cost remain common barriers to getting services. Adolescents' preferences are overwhelmingly for public clinics, with strongly positive perceptions of confidentiality, accessibility and cost. Some gender and country differences exist, yet overall females and males' views are similar. Results highlight the need to inform youth about sources, increase availability of government health facilities and improve youth's access to them, especially by reducing social barriers. Une grande proportion des adolescents qui sont sexuellement actifs ne connaissent pas les sources pour obtenir la contraception ou le traitement pour les IST; ensuite, des raisons socio-psychologiques (l'embarras et la peur) et le coût financier demeurent des obstacles à l'obtention des services. Les préférences des adolescents sont largement pour des cliniques publiques avec leur fortes perceptions positives de la confidentialité, de l'accessibilité et du coût. Il existe aussi certaines différences au niveau des genres et des pays, pourtant, en général, les opinions des mâles et des femelles sont similaires. Les résultats mettent l'accent sur la nécessité de renseigner la jeunesse sur les sources, d'augmenter la disponibilité des établissements de santé et d'améliorer l'accès de la jeunesse à ces établissements, surtout par la réduction des obstacles sociaux. (Rev Afr Santé Reprod 2007; 11[3]:99-110).