Inuit in Canada have among the highest suicide rates in the world, and it is primarily among their youth. Risk factors include known ones such as depression, substance use, a history of abuse, and knowing others who have made attempts or have killed themselves, however of importance are the negative effects of colonialism. This took place for Inuit primarily during the government era starting in the 1950s, when Inuit were moved from their family-based land camps to crowded settlements run by white men, and children were removed from their parents and placed into residential or day schools. This caused more disorganization than reorganization. The most negative effect of this colonialism/imperialism for Inuit has been on their family and sexual relationships. Many Inuit youth feel alone and rejected. Suicide prevention has been taking place, the most successful being community-driven programs developed and run by Inuit. Mental health factors for Indigenous peoples are often cultural. It is recommended that practitioners work with the community and with Inuit organizations. Empowered communities can be healing.
Abré géLes Inuits du Canada détiennent des taux de suicide parmi les plus élevés du monde, et ce, principalement chez les jeunes. Les facteurs de risque sont notamment les facteurs connus comme la dépression, l'utilisation de substances, des antécédents de violence, et le fait de connaître d'autres personnes qui ont tenté de se suicider ou qui se sont enlevé la vie, quelle que soit l'importance des effets négatifs du colonialisme. Celui-ci a eu lieu pour les Inuits surtout à l'époque du gouvernement des années 1950, quand les Inuits ont été déplacés de leurs campements familiaux vers des réserves surpeuplées dirigées par des hommes blancs, et que les enfants ont été arrachés à leurs parents et placés dans des pensionnats et des externats. Cela a causé plus de désorganisation que de réorganisation. L'effet le plus néfaste de ce colonialisme/impérialisme pour les Inuits s'est fait sentir sur leurs relations familiales et sexuelles. Nombre de jeunes Inuits se sentent seuls et rejetés. Des interventions de prévention du suicide ont pris place, les plus réussies étant des programmes communautaires élaborés et fournis par des Inuits. Les facteurs de santé mentale pour les personnes autochtones sont souvent culturels. Il est recommandé que les praticiens collaborent avec la communauté et les organisations Inuits. Des communautés habilitées peuvent être guérisseuses.