Une approche typologique de l’entrepreneuriat de nécessité

Abstract

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Entrepreneurship in Morocco: An Empirical Study of Motives, Barriers, and Determinants of Success

“…The "push" group of motivations refers to negative events that force a person to start a business: in that case, self-employment is perceived as a last resort where the individual falls victim from an exclusion out of the labor market (Feldman, et al, 1991) or from the inability of a country's economy to generate new jobs (Acs, et al, 2004). In such cases, the necessity to create a business may result from a wide, complex, variety of motives and circumstances (Tessier-Dargent and Fayolle, 2016;Rosa, Kodithuwakku, and Balunywa, 2006;Kodithuwakku and Rosa, 2002): chronic unemployment, below poverty wages in some sectors, minority discrimination (Serviere and Munoz, 2010;Light, 1979), redundancy, dissatisfaction in previous jobs, health problems, family financial difficulties, a need for flexibility due to greater family responsibilities, and the death of one or both parents who own a business (Chedli, 2016).…”

Entrepreneuriat et religion : vers une mutation affinitaire du marché du travail ? Le sentiment d’exclusion en question

“…Au nombre de ces facteurs figurent le chômage chronique (Verheul et al, 2010), la discrimination (Clark & Drinkwater, 2000), l'insatisfaction et la frustration dans l'emploi (Uhlaner & Thurik, 2007) et différentes situations de vie contraignantes (Fayolle & Nakara, 2012). Les entrepreneurs par nécessité sont les personnes issues de minorités ethniques, les immigrés ne maîtrisant pas la langue du pays hôte, les femmes, les jeunes, en particulier sans diplôme ni qualification, et enfin les personnes handicapées (Tessier-Dargent & Fayolle, 2016).…”

La transition des individus par des épisodes de pauvreté : de l’ajustement de la consommation à la reconfiguration identitaire

“…Une autre piste versant dans la même direction consiste pour les pouvoir publics et les établissements de crédits (notamment les banques mutualistes) à favoriser le développement du microcrédit en direction des personnes exclues du système bancaire en vue de combler l'absence de prêteurs classiques, à faciliter l'accès aux biens et services à la base de la pyramide (Fairbourne et al 2007) et à soutenir une sorte d'entreprenariat de nécessité (Tessier-Dargent;Fayolle, 2016).…”