Tracking the re-emergence of epidemic chikungunya virus in Indonesia

Abstract

Twenty-four distinct outbreaks of probable chikungunya (CHIK) etiology were identified throughout Indonesia from September 2001 to March 2003, after a near 20-year hiatus of epidemic CHIK activity in the country. Thirteen outbreak reports were based on clinical observations alone, and 11 confirmed by serological/virological methods. Detailed epidemiological profiles of two investigated outbreaks in Bogor and Bekasi are presented. Human sera were screened using an ELISA for IgM and IgG anti-CHIK antibodies. Additionally, reverse transcriptase PCR and virus isolation were attempted for virus identification. The mean age of cases was 37 +/- 18 years in Bogor and 33 +/- 20 years in Bekasi. There was no outstanding case-clustering, although outbreak-affected households were observed to be geographically grouped within villages. The attack rates in Bogor and Bekasi were 2.8/1000 and 6.7/1000 inhabitants respectively. Both outbreaks started in the rainy season following increased Aedes aegypti and A. albopictus densities.

Aedes albopictus, vecteur des virus du chikungunya et de la dengue à la Réunion : biologie et contrôle

“…Par la suite, de nouvelles épidémies ont été décri-tes dans ce pays ainsi qu'aux Cambodge, Vietnam, Laos, Myanmar, Philippines, Inde et Indonésie (Jupp & McIntosh, 1988;Johnston & Peters, 1996). Après 20 ans d'absence, le virus est réapparu à Java, en Indonésie, en 2001(Laras et al, 2005 (Sergon et al, 2007). La circulation du CHIKV parmi les îles de la zone SOOI ne semble cependant pas nouvelle puisque la présence du virus avait déjà été notifiée aux Seychelles en 1979 (Calisher et al, 1981).…”

Global epidemiology of Zika and Chikungunya virus human infections

“…Even if the scarcity of reported cases of donor-derived Zika virus infection precludes a more accurate risk assessment, the association between Zika virus infection and congenital malformations justifies measures to reduce the risk of transmission via SoHO supply (69,150).…”

Infection par le virus Chikungunya : une alphavirose ré-émergente

“…Il est considéré comme endémique en milieu rural en Afrique, responsable de nombreux cas probablement non diagnostiqués, et associé à une séroprévalence pouvant être supérieure à 50 % [11]. Parallèlement, des poussées épidémiques ont été observées en Inde, au Sri Lanka, en Asie du Sud-Est (Thaïlande, Myanmar, Vietnam, Laos, Cambodge, Indonésie, plus récemment Malaisie), aux Philippines [12,13]. La fréquence plus importante des épidémies en Asie peut être reliée au caractère anthropophile des moustiques vecteurs en cause [2].…”

“…Cette atteinte articulaire concerne principalement les poignets et les chevilles, mais aussi les genoux, les articulations des mains et des pieds, beaucoup plus rarement les hanches ou les épaules. Elle se limite le plus souvent à des arthralgies, mais d'authentiques arthrites inflammatoires et ténosynovites peuvent être observées, responsables d'une impotence fonctionnelle majeure [13,14]. À cette atteinte articulaire s'associent fréquemment des céphalées, des myalgies importantes (dans 70 % à 99 % des cas), une éruption cutanée maculo-papuleuse du tronc et des membres (dans environ 50 % des cas), parfois prurigineuse, qui apparaît volontiers après quelques jours, voire une polyadénopathie cervicale ou une conjonctivite [1,4,13].…”

“…Elle se limite le plus souvent à des arthralgies, mais d'authentiques arthrites inflammatoires et ténosynovites peuvent être observées, responsables d'une impotence fonctionnelle majeure [13,14]. À cette atteinte articulaire s'associent fréquemment des céphalées, des myalgies importantes (dans 70 % à 99 % des cas), une éruption cutanée maculo-papuleuse du tronc et des membres (dans environ 50 % des cas), parfois prurigineuse, qui apparaît volontiers après quelques jours, voire une polyadénopathie cervicale ou une conjonctivite [1,4,13]. Des formes hémorragiques mineures, avec gingivorragie, épistaxis ou purpura ont été décrites principalement en Asie, mais leur fréquence peut être élevée, évaluée à 23 % sur les 7 148 premiers cas recensés de l'épidémie actuelle de la Réunion [1].…”