Towards a social history of modern Alexandria

Introduction. Banaliser Alexandrie

“…Le trop-plein laisse alors rapidement place au sentiment de vide dès que l'on s'intéresse à l'Alexandrie non mythifiée, celle qui concerne la majorité de ses habitants (dans les travaux historiques) ou sa situation contemporaine, des années 1960 à aujourd'hui. Dans le premier cas, l'historien égyptien Khaled Fahmy soulignait déjà la nécessité de produire une histoire sociale de la ville qui mettrait la population locale et arabophone, constituant la grande majorité des habitants d'Alexandrie (80%), au centre de toute étude, sans quoi elle serait fondamentalement insuffisante (Fahmy 2016a). La critique du prisme « cosmopolite » et des thématiques de la « perte » a également pris 2 La surreprésentation des articles en philosophie découle de l'importance de l'école d'Alexandrie dans la philosophie grecque, ce qui fit dire à Michel Foucault à propos d'Alexandrie qu'elle est « notre lieu de naissance » (Foucault 2001 : 435).…”

“…Dans les autres cas, le mot « Alexandrie » est simplement mentionné dans le texte (comme exemple), ce qui leur vaut, d'apparaître dans la recherche. 5 Dont deux ont été rédigés par l'auteur (El Chazli 2013, 2016a (Empereur 2001). 10 Les travaux sur l'islamisme à Alexandrie forment une rare exception, à lier avec l'intérêt plus général pour ces thématiques à partir de la fin des années 1980.…”

Harry Tzalas’s Farewell to Alexandria and the Alexandrian Mime in Antiquity: The Metaphorical Language of Cultural Identity

“…The term "Alexandria by Egypt" is not disputed; however, Fraser (1949, 56) discusses a piece of evidence from the third century BC showing that, in circles closely connected with Alexandria, the city was thought of as "in Egypt." See also Fahmy (2006b), who argues in favour of "Alexandria in Aegypto." See also Kararah (2006).…”

From immigrants to emigrants: Salesian education and the failed integration of Italians in Egypt, 1937-1960

“… 1. Italian accounts of departure from Egypt fit within a larger body of nostalgic literature on Egypt’s colonial past. See Hanley 2008, Fahmy 2004, 2012, and Mabro 2002. While the memoirs of Aciman (2007) and Lagnado (2008) have been given attention in these critiques, they and Italian-language accounts (Fishman 2006; Delburgo 2008; Guastamacchi 2012) have yet to be put in dialogue with the longer history of Italo-Egyptian relations (Viscomi 2016).…”