Time Management of Open Lower-Leg Fractures in Morocco

Abstract

Background: It is recommended that the management of open lower-leg fractures should occur within six hours to avoid complications affecting both prognosis and functionality. This study aimed to evaluate the time taken for each step of management, identify causes of delay, and propose solutions to reduce the rate of complications. Patients and methods: This was a prospective study involving 153 patients treated from January 2011 to December 2012. Standardized data collection forms documented the times taken for each management step from the accident until surgical intervention. Results: For patients admitted directly to our institution, median time to surgical debridement from arrival was 5 hours. Median time for bone fixation was 24 hours. External fixation was used in 119 patients. There were several causes of delay; lack of financial resources was the most common. Certain causes of delay were significantly correlated with time to debridement. However, although 86.7% of patients who developed an infection had a time from injury to debridement greater than six hours, there was no statistically significant association between infection and delay beyond six hours (p = 0.403). Conclusion: By identifying causes of treatment delay, we hope to be able to avoid complications, and therefore reduce the socioeconomic impact of these important surgical emergencies.

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“…Notre moyenne d'âge est de 33,41 ans pour une prédominance de la tranche d'âge de 21 à 40 ans (65,91%). Ribault [6] (24 ans), Onche [7] (32,4ans), Sima Zue et Hoekman et Magumou (26ans) [5,32,33] , Noufanange [34] (38,88 ans), MADOUGOU [30] (38,28 ans), Olukemi [31] (37,1±13,6 ans avec la tranche d'âge la plus touchée comprise entre 30-39 ans pour des extrêmes de 18 et73 ans, Lawson [3] (37,26 ans) avec comme tranche d'âge les plus touchées comprises entre 20-29 ans(38,25%) et 30-39 ans(39,53%). Pour notre série, ceci s'expliquerait par le fait que c'est la tranche la plus active pour subvenir aux multiples besoins dans un pays pauvre comme la république démocratique du Congo où la population vit avec environ 1 dollar par jour.…”

“…Dans notre série, les hommes (N=31) représentent 73,80% et les femmes (N=11) 26, 20% (sexe ratio hommes/femmes : 2,8). La prédominance masculine est notée dans multiples études notamment celles de Onche [7] (76,6%), Hoekman [32] (82,9%), Madougou [30] (sexe-ratio H/F :2,7), Lawson [3] (70,46% avec un sexe ratio Homme/Femme de 2,38), Noufanangu [34] (73,6% avec un sexe ratio H/F :2,7), Olukemi [31] (ratio Homme/Femme :1,7), Magoumou [33] (92,2%). En fonction de la cause, nous avons trouvé que les accidents de circulation sont la cause dans 88,64% des cas, ceci confirme les données publiées par plusieurs auteurs : Lawson [3] (78,28%), Magoumou [33] (86,7%), Noufanangu [34] (73,6%), Onche [7] (97,9%).…”

“…La prédominance masculine est notée dans multiples études notamment celles de Onche [7] (76,6%), Hoekman [32] (82,9%), Madougou [30] (sexe-ratio H/F :2,7), Lawson [3] (70,46% avec un sexe ratio Homme/Femme de 2,38), Noufanangu [34] (73,6% avec un sexe ratio H/F :2,7), Olukemi [31] (ratio Homme/Femme :1,7), Magoumou [33] (92,2%). En fonction de la cause, nous avons trouvé que les accidents de circulation sont la cause dans 88,64% des cas, ceci confirme les données publiées par plusieurs auteurs : Lawson [3] (78,28%), Magoumou [33] (86,7%), Noufanangu [34] (73,6%), Onche [7] (97,9%). Dans notre cas, nous avons constaté que parmi les raisons de ces accidents de la voie publique, sont d'une part le non-respect du code de la route par des chauffeurs souvent impatients de réunir le versement journalier et voulant échapper aux tracasseries incessantes des agents de la police de circulation routière dans notre ville de Lubumbashi et d'autres part l'apparition des taxi moto localement appelés « MANSEBAS » qui, il ya 10 ans n'existait quasiment pas à Lubumbashi qui roulent sur les principales rues et sans jamais porter des casques.…”

“…Les fractures ouvertes de la jambe isolée représente 17 cas (38,64%) et les lésions associées sont retrouvées dans 61,36% des cas lesquelles sont dominées par le Traumatisme cranio-encéphalique qui représente 15 cas (34,10% des cas) puis fracture du fémur 4 cas (9,10%) alors que Madougou [30] trouve les lésions associées dans 37% des cas lesquelles sont dominées comme dans notre cas par les Traumatisme cranio-encéphalique (59,6% des cas) et la fracture du fémur (19% des cas). Dans la série de MAGOUMOU [33] 60 cas sur 153 avaient des lésions associées dont 40 (lésions crâniennes), 11(lésions thoraciques) et 9 cas autres fractures. En rapport avec la classification des fractures ouvertes, notre école de chirurgie utilise celle de Cauchoix et Duparc [44] .…”