Thinking Africa or Knowing African Societies? (Part Two)

Pourquoi Sources ?

“…Ces controverses ont été vives dans le champ anglophone en lien avec le courant des Subaltern Studies (Guha 1982 ;Spivak 1988 ;Chakrabarty 2000) et sous pression des mouvements sociaux et des mobilisations au sein des universités américaines, britanniques et sud-africaines (Ampofo 2016 ;Mbembe 2016 ;Matthews 2018). Elles ont également été amorcées dans les études africaines francophones autour du constat qu'il existe un abîme à combler entre les lieux où se fait l'histoire de ces Afriques dans le monde et ceux où elle s'étudie, qu'elle soit passée ou en train de se faire (Mbembe et Sarr 2017 ;Copans 2019aCopans , 2019bGueye et al 2019).…”

Why Sources?

“…They have also been initiated in francophone African studies. As many scholars have observed, there is a gap between the places where the history of these Africas in the world is made (or was made), and the places where it is studied (Mbembe and Sarr 2017;Copans 2019aCopans , 2019bGueye et al 2019).…”

Des leçons africaines à géométrie variable

“…Pour préserver l'afro-optimisme du dossier, chacune des sections est 7. Je m'étais moi-même lancé dans un tel projet pour commémorer les cinquante ans des Indépendances africaines avec Mythologies des Afriques(Copans 2010), cherchant à passer sommairement en revue tous les problèmes sociaux, politiques, culturels et touristiques du continent.…”