“…Il semble que, malgré cette explication, d'autres facteurs puissent intervenir dans l'expression de ces psychopathologies, incluant des facteurs psychologiques, familiaux, sociaux ainsi qu'une vulnérabilité biologique en raison de particularités génétiques (Dykens, 2001;Matson & Sevin, 1994). rejetées ou ridiculisées (Matson & Sevin, 1994). Finalement, il y aurait davantage de facteurs biologiques de vulnérabilité à développer une psychopathologie chez les personnes avec une déficience intellectuelle que dans la population en général, tels que des déficits biochimiques, physiologiques, génétiques ou neurologiques.…”