The Wheat Staple and Upper Canadian Development

Abstract

On a dit, et sans doute avec raison, que le commerce du blé fut à la base du développement économique du Haut-Canada. Cependant, si l'on tente d'organiser la masse des données accumulées à date de façon à construire un modèle qui rende compte à la fois du progrès économique et de sa chronologie, de multiples difficultés surgissent en ce qui concerne la séquence des changements et la place qu'y a pris le blé, particulièrement, le blé exporté. Par exemple, si le blé exporté a engendré le développement qu'est-ce donc qui a permis qu'on en produise autant? N'est-il pas possible que ces facteurs antérieurs soient plus en mesure d'expliquer le processus du progrès économique? Ce sont là les questions que se pose l'auteur en examinant la situation et les événements de la décennie 1830. Ce qui frappe, au départ, c'est que la période 1832-1838 augure mal pour le Haut-Canada à cause des bonnes récoltes en Grande-Bretagne. Pourtant, la population augmente régulièrement de même que Ie nombre d'acres en culture. L'habitant emprunte pour continuer de produire et l'auteur y voit la preuve que, d'une part, l'endettement est considéré comme une stratégie d'investissement raisonnable et que, d'autre part, il existe un autre marché pour le blé haut-canadien à l'époque, en l'occurence, celui du Bas-Canada. Autre problème: l'on constate que le blé n'est pas nécessairement à la base du développement d'autres secteurs; ainsi, les canaux se construisent pour des motifs militaires, et ce, bien avant les bonnes récoltes de 1829-1831. Il ne s'agit là que de quelques exemples que l'auteur apporte à l'appui de son assertion première selon laquelle la question du blé ne peut suffire à expliquer le développement économique du Haut-Canada. Il suggère donc de recourir à une approche différente par l'étude de l'investissement. Celle-ci, dit-il, rendra mieux compte de la place des capitaux britanniques dans l'économie haut-canadienne, des mécanismes de crédit et de la gamme des activités commerciales. Il insiste, de plus, sur l'importance d'établir une véritable chronologie du progrès économique: alors seulement sera-t-il possible d'étudier les phases du progrès et leur intensité respective

Isotopic Analyses Reveal Geographical and Socioeconomic Patterns in Historical Domestic Animal Trade Between Predominantly Wheat- And Maize-Growing Agricultural Regions in Eastern North America

“…In contrast to indigenous maize-based agricultural regimes of the Iroquoian-speaking peoples on the north shore (Katzenberg 2006), European settlers chose a different path—wheat agriculture. Our isotopic evidence is in line with historical analyses suggesting that wheat came to monopolize agricultural land under European cultivation (McCalla 1978); however, the complete absence of maize in livestock diets at all rural sites provides surprisingly clear insight into the pervasive nature of this shift in agricultural regimes.…”

“…Livestock δ 13 C values at rural sites around Toronto ( n = 146) show an overwhelming dominance of C 3 dietary input and support historical interpretations (McCalla 1978; McInnis 1984) suggesting that European settlers in Upper Canada focused on wheat rather than maize agriculture. In this context, it is worth pointing out that butchery marks as well as element types for samples that did produce δ 13 C values indicative of C 4 -feeding at rural sites (SUBC 9189 cattle rib and SUBC 9279 pig vertebra) were consistent with common salt meat cuts, suggesting that they most likely represent the occasional purchase of imported commercial meat products from off-site sources, rather than locally raised animals.…”

“…However, historical documentation suggests that the earliest European settlers in some areas did not embrace maize agriculture (e.g., McInnis 1984). In particular, settlers of what became York (established 1793, later changed to Toronto in 1834; hereafter Toronto) and its surrounding environs in Upper Canada (established 1791, later changed to Canada West, 1841–1867, and now Ontario, 1867–present) between the 1790s and 1890s developed a wheat-based agriculture regime (e.g., Lewis 1975; McCalla 1978), following a history of at least 1,500 years of maize-dominated cultivation by indigenous peoples in the area (e.g., Crawford 1997; Katzenberg 2006; Katzenberg et al 1995; Schwarcz et al 1985).…”

Urban rats have less variable, higher protein diets

“…It is also noteworthy that for rural environments our data show that in some cases, at the individual level, rats still specialized in taking advantage of human food systems. In particular, a small number of rural rat δ 13 C values suggest their activity in the pilfering of maize, a C 4 plant that was a significant crop for European settlers and migrants in many parts of eastern North America during the eighteenth and nineteen centuries, but not in Upper Canada [ 44 ]. This is interesting because it demonstrates a pattern that is not shown by the isotopic composition of livestock from the same sites [ 23 ].…”