“…La bioéthique et l'art ont plusieurs points en commun dont les principaux sont de toucher aux émotions, de référer au sensible et, pour utiliser un langage philosophique, de fonctionner par jugement de valeur pour déterminer ce qui est beau, bien, de bon goût ou souhaitable. De plus, pour paraphraser Tsitas, la bioéthique traite de la vie, de la mort, de la souffrance et de l'existence humaine, ce qui est également à la base du travail artistique [4]. Bien que ce chevauchement soit reconnu, la nature de l'apport d'une discipline à l'autre est encore débattue [5].…”