1965
DOI: 10.1017/s030574100004875x
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The Reinterpretation of Chinese Buddhism

Abstract: China was the second country in the Buddhist world to have a Communist government. The first was Mongolia. But Mongolia was isolated both geographically and by its form of Buddhism (shared only with Tibet). Chinese Buddhists, on the other hand, had been building closer ties with their brethren in South-East Asia for more than half a century. Their form of Buddhism was less remote from South-East Asian forms and they felt the same need as South-East Asian to fit Buddhism into a national revival.

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“…L'État exigeait en particulier que toute religion se dote d'une structure à l'échelle nationale, permettant un contrôle étatique sur ses activités, et la certification officielle de son clergé. En tous cas, ni le bouddhisme ni surtout le taoïsme ne possé-dait de structure et de mécanisme de certification de ce genre à l'échelle nationale (Welch, 1967).…”
Section: Une Nouvelle Religion Pour Une Chine Nouvelleunclassified
“…L'État exigeait en particulier que toute religion se dote d'une structure à l'échelle nationale, permettant un contrôle étatique sur ses activités, et la certification officielle de son clergé. En tous cas, ni le bouddhisme ni surtout le taoïsme ne possé-dait de structure et de mécanisme de certification de ce genre à l'échelle nationale (Welch, 1967).…”
Section: Une Nouvelle Religion Pour Une Chine Nouvelleunclassified