“…En effet, il a été à maintes reprises mis à l'épreuve auprès de PPSMJ de sexe masculin (Olver, Stockdale, & Wormith, 2014) ou féminin (Coulson, Ilacqua, Nutbrown, Giulekas, & Cudjoe, 1996 ;Geraghty & Woodhams, 2015 ;Girard, 1999 ;Hogg, 2011 ;Rettinger, 1998), d'auteurs d'infractions issus des peuples autochtones (Andrews, Dowden, & Rettinger, 2001 ;Bonta, 1989 ;Hogg, 2011), de jeunes auteurs d'infractions de sexe masculin ou féminin (Andrews et al, 2001 ;Hoge, Andrews, & Leschied, 1995, 1996NowickaSroga, 2004 ;Shields, 1993 ;Shields & Simourd, 1991), de PPSMJ associés à des bandes urbaines (Guay, 2012) de même qu'à des PPSMJ souffrant de problèmes de santé mentale (Andrews et al, 2001 ;Bonta, Blais, & Wilson, 2014 ;Girard & Wormith, 2004). De plus, il a été utilisé à de nombreuses reprises pour les questions de classement sécuritaire en établissement et a montré une validité prédictive des incidents violents équivalente aux autres instruments spécialement conçus à cette fin (Charton, Couture-Poulin, & Guay, 2011).…”