The miscarriage clinic: an audit of the first year

Abstract

Summary. We preview the results of the first year in a Miscarriage Clinic set up in 1989 in an effort to improve the support and counselling of women who have a miscarriage. Of 381 patients referred, 79% attended. The only statistically significant difference between the women who attended and those who did not attend was in the proportion of women who had planned their pregnancies (65% versus 33%, P<0.01). Of the 300 patients who attended, 4% reported no grief reaction; 75% experienced a reaction which had resolved within one month and 21% experienced a reaction which had not resolved. No factor was identified which could predict the duration of the grief reaction. This audit demonstrates that there is a strong demand and need for this service for couples who experience a miscarriage.

L’impact psychologique de la fausse couche : revue de travaux

“…Ainsi, à partir d'une éva-luation sur une échelle en 5 points, 67 % des 39 femmes interrogées se disaient très tristes trois semaines après la perte [31] et seules 4 % des 300 femmes qui ont bénéfi-cié d'une consultation spécialisée n'ont eu aucune réaction de chagrin [32]. Grâce à une échelle de deuil adaptée à la fausse couche (Texas Inventory of Grief), Nikcevic et al [33] ont observé que le score moyen de chagrin était comparable à celui des personnes ayant perdu un proche (n = 204).…”

“…La plupart des études indiquent que le statut marital n'a pas d'influence sur l'intensité de la détresse émotionnelle [13,32,36,39,41]. Le niveau d'étude ou l'activité professionnelle ne semblent pas non plus liés à l'intensité de la symptomatologie [13,39,41].…”

“…Si certaines études n'ont pas retrouvé d'association entre la détresse psychologique et le nombre d'enfant [13,32,38,41], beaucoup d'auteurs ont mis en évidence le rôle protecteur de la parité [17,30,35,36,39,48].…”

“…De même, si Friedman et Gath [38] et Thapar et Thapar [35] ont noté que les femmes ayant des antécédents de fausse couche avaient des symptômes plus élevés, beaucoup d'études n'ont observé aucun lien entre les anté-cédents de perte de grossesse et la détresse psychologique [13,30,32,36,39].…”

“…La majorité des études n'ont pas retrouvé d'association significative entre le fait que la grossesse ait été planifiée et les mesures d'adaptation psychologique [32,38,39,48]. Deux études ont observé que les femmes dont la grossesse n'avait pas été programmée avaient une symptomatologie anxieuse ou dépressive plus élevée que les autres [35,41].…”