The hidden victims of disaster: Helper stress

Abstract

The effects of disaster work on helpers, both of the emergency services type (rescue, recovery, and identification personnel) and those who offer psychological support, are reviewed. In terms of emotional, cognitive and behavioural effects, a significant number experience short-term stress and a small percentage experience long-term effects, which may be of the fluctuating nature. The extent and nature of the encounter with death, and organizational factors appear as particular stressors. Coping styles (eg hardiness), age, experience and social support have been identified as moderating factors. Positive, as well as negative effects are observed.

Sinistres et intervenants

“…On remarque également la rareté de données ou d'études empiriques ainsi qu'une utilisation, jugée trop abondante, de rapports anecdotiques. Des chercheurs mentionnent aussi que l'utilisation de certaines variables indépendantes que l'on ne peut généraliser à plusieurs situations de désastres, la présence d'échantillons non homogènes d'intervenants et le peu d'usage d'échel-les de mesure communes rendent difficiles les comparaisons entre les études réalisées (Alexander et Wells, 1991 ;Fullerton et ai., 1992 ;Gibbs et al, 1993 ;Hartsough, 1985 ;Innes et Clarke, 1985 ;Paton et Smith, 1996 ;Shepherd et Hodgkinson, 1990 ;Warheit, 1988).…”

“…Ainsi, l'information risque de demeurer spéculative et l'évidence de recherche systématique s'avère rare (Baum, 1991 ;Shepherd et Hodgkinson, 1990). De plus, l'absence de mesures pré-désastre de l'état émotionnel des sujets tend à amenuiser la validité des résultats obtenus (Alexander et Wells, 1991) 6 [27]…”

“…En se référant aux travaux de Shepherd et Hodgkinson (1990), Taylor et Frazer (Alexander, 1990 ;Duckworth, 1986 ;Fullerton et al, 1992 ;Paton, 1996c ;Raphael et al, 1980 ;Shepherd et Hodgkinson, 1990 ;Wright et al, 1990). , de même que Wright et al (1990) ont repris la classification suivante : les victimes primaires : celles de la ligne de front, qui ont été exposées au maximum à l'évé-nement catastrophique ; les victimes secondaires : les parents et amis affectés ; les victimes tertiaires : le personnel de sauvetage et de réta-blissement ; les victimes de quatrième degré : la communauté touchée par le désastre, incluant ceux qui convergent, qui offrent de l'aide, qui partagent la peine et la perte, ou qui remplissent diverses responsabilités de toutes sortes ; les victimes du cinquième degré : celles qui peuvent être précipitées dans différents états de perturbation même si elles n'ont pas été touchées directement ; et finalement, les victimes du sixième degré : celles qui, en raison de chance ou de hasard, ont pu échapper à un éventuel statut de victime primaire ou secondaire.…”

“…Tel que mentionné précédemment, peu de chercheurs ont inclus dans leurs études des intervenants offrant du support psychologique (Shepherd et Hodgkinson, 1990). Toutefois, Berah et al (1984) ont interviewé, à l'aide d'un questionnaire un mois après leur dispersion, dix-neuf membres d'une équipe de bénévoles en santé mentale qui sont intervenus à la suite d'incendies dévastateurs survenus en Australie en 1983.…”

“…Les problèmes les plus communément rapportés chez les intervenants sont similaires à l'épuisement physique, émotionnel et psychologique rapporté en situation de burnout 21 (Lamontagne, 1983 ; Shepherd et Hodgkinson, 1990) ou au stress du combat évoqué par Figley (1981). Se référant aux travaux de Shulman (1992) et Weisman et a1.…”