The Hemispheric Dimensions of Early U.S. Nationalism: The War of 1812, Its Aftermath, and Spanish American Independence:

Fitz, Caitlin A.

doi:10.1093/jahist/jav374

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“…De son côté, dans son ouvrage Borderlines and Borderlands, J. C. A. Stagg présente un contexte diplomatique américain général de la Guerre de 1812 16 . Caitlin A. Fitz va encore plus loin en apportant des arguments en faveur de l'incidence de la Guerre de 1812 sur l'indépendance hispanoaméricaine 17 .…”

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Repenser la participation des Américains à la Guerre de 1812 : un examen des travaux historiques récents aux États-Unis

Bickham

2017

Bulletin d'histoire politique

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À la fin du XX e siècle, l'historien canadien William Kingsford faisait remarquer de façon sardonique que les événements entourant la Guerre de 1812 n'avaient pas été oubliés en Grande-Bretagne, puisqu'« on n'en avait jamais appris l'existence 1 . » Récemment, le USA Today a tiré des conclusions comparables sur l'intérêt des Américains aujourd'hui, précisant que les acteurs de la reconstitution historique représentant les deux camps étaient des Canadiens, que le Congrès américain avait refusé de créer une commission nationale sur le bicentenaire et que les Américains avaient une compréhension limitée du conflit. Bien qu'il admette qu'il s'agit d'une généralisation, selon le populaire journal « les Canadiens, dont les ancêtres ont contribué à repousser plusieurs invasions américaines en 1812, voient la guerre déclenchée voilà deux siècles ce lundi comme un creuset de l'identité nationale. À leurs yeux, son bicentenaire est tout un événement. » Le quotidien poursuit en ces termes : « Les Américains, par contre, connaissent la chanson à succès de 1959 intitulée The Battle of New Orleans (La bataille de la Nouvelle-Orléans) et ont un vague souvenir de Dolley Madison fuyant la Maison-Blanche avec un portrait de George Washington sous son bras, devant des Royal Marines brandissant des flambeaux 2 . » Même s'il s'agit là, peut-être, d'un des commentaires les plus largement répandus sur la supposée différence d'intérêt, les hypothèses et les critiques évoquées dans l'article du USA Today n'ont rien d'exceptionnel. Si des Canadiens ne connaissaient pas déjà la mythologie fondatrice nationale que

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Repenser la participation des Américains à la Guerre de 1812 : un examen des travaux historiques récents aux États-Unis

Bickham

2017

Bulletin d'histoire politique

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Rebellious Passage

Kerr‐Ritchie

2019

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When people in the United States and the United Kingdom encounter the term "special relationship," several things often spring to mind: former colonial ties; English as a common language; cordial relations between presidents and prime ministers -Roosevelt and Churchill, Reagan and Thatcher, Clinton and Blair; and cultural exchange -Beatlemania and Motown to an older generation, and Michael Jordan, David Beckham, Beyoncé, and Adele to younger generations.A more malevolent relationship is rarely evoked. The decades since the 1940s have seen the forging of an unprecedented level of military and intelligence cooperation between Washington and London. Between 1955 and 1975, the Vietnam Warthe Vietnamese refer to it as the American Warclaimed the lives of between 1.3 million and 3.1 million people, depending on which side you ask. 1 British Prime Minister Harold Wilson refrained from criticizing this bloodbath at the time by reportedly saying, "We can't kick our creditors in the balls." Since the 1990s, London has repeatedly supported American intervention in the Arab-Muslim world during wars on Iraq, Afghanistan, Libya, and now Syria that have claimed the lives of hundreds of thousands people. 21 "Vietnam War Casualties," Wikipedia, https://en.wikipedia.org/wiki/Vietnam_War_ casualties 2 Some of us disagree that the world is a better place as a consequence of US global power supported by its junior partner in London. A British diplomat visiting Howard University several years ago seemed a little taken aback by my disagreement. The chaos and bloodshed in the Arab-Islamic world, the blowback in European cities, and the extension of the security state into the lives of American and British citizens over the past two decades suggest that the axis of good could not have got it more spectacularly wrong.

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Preface

2019

Rebellious Passage

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The Hemispheric Dimensions of Early U.S. Nationalism: The War of 1812, Its Aftermath, and Spanish American Independence:

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