The effect of frequency of administration of melatonin on the time of onset of the breeding season in anoestrous ewes

Ronayne, E.; Jordan, Bradford D.; Quirke, J. F.; Roche, J. F.

doi:10.1016/0378-4320(89)90003-1

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“…Mean inter-and intraassay coefficients of variation were 6.6% and 7.5%. Melatonin concentrations were determined in a single assay as described by Ronayne et al [24]. Sensitivity of the assay, as defined as 95% binding, was 18 pg/ ml.…”

Section: Riasmentioning

confidence: 99%

Seasonal Variation in Long-Day Stimulation of Prolactin Secretion in Ewes1

Sweeney

Kelly²,

O'Callaghan³

1999

Biology of Reproduction

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Whereas ewes initiate reproductive activity in response to a photoperiod signal initiated after the winter solstice of 35 long days (35 LD) followed by short days, the reproductive axis fails to respond to this signal between the autumn equinox and the winter solstice. The aim of experiment 1 was to determine whether the prolactin axis, like the reproductive axis, is unresponsive to a 35 LD photoperiod signal followed by continuous exposure to short days between the autumn equinox and the winter solstice. Whereas the 35 LD signal from September 21 ( 6 h increase in day length) initiated a rise in prolactin in at least 75% of ewes in each group (p < 0.05). The aim of experiment 2 was to determine whether ewes failed to secrete prolactin during a 35 LD photoperiod from September 21 because they did not recognize a 6-h increase in day length at any time of year as a stimulatory photoperiod signal or because hypothalamic/pituitary regulation of prolactin synthesis or secretion is compromised in September. The results demonstrated that while hypothalamic regulation of prolactin secretion and pituitary stores of prolactin were normal at all times of year examined, the ability of ewes to secrete prolactin in response to a long-day photoperiod signal appears to be dependent on photoperiodic history rather than the time of year of the photoperiodic challenge.

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Section: Riasmentioning

confidence: 99%

Seasonal Variation in Long-Day Stimulation of Prolactin Secretion in Ewes1

Sweeney

Kelly²,

O'Callaghan³

1999

Biology of Reproduction

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“…Ce dŽmarrage plus prŽcoce est identique ĉ elui de brebis placŽes en jours courts, Žgalement ˆ partir du 18 juin, qui, elles, manifestent une avance de 42 jours par rapport aux tŽmoins (English et al 1986). Beaucoup dÕautres auteurs ont rapportŽ une telle efficacitŽ pour le dŽclenchement prŽcoce de lÕactivitŽ sexuelle chez la brebis et notamment Kennaway et al (1982), Nett et Niswender (1982), Arendt et al (1983), Nowak et Rodway (1985), Poulton et al (1987), Mori et al (1987), Stellflug et al (1988), Ronayne et al (1989), Staples et al (1991).…”

Section: / Activitž De La Mžlatonineunclassified

Emploi des implants de mélatonine et des traitements photopériodiques pour maîtriser la reproduction saisonnière chez les ovins et les caprins

et al. 1996

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La mélatonine est une substance naturellement sécrétée par la glande pinéale pendant la période obscure du nycthémère, qui transmet l’information photopériodique chez les mammifères. L’administration continue par un implant sous-cutané, comme dans les expérimentations décrites ici, permet de mimer les jours courts alors que les yeux des animaux perçoivent les jours longs naturels du printemps et de l’été. Il est nécessaire de faire subir une alternance de jours longs et de jours courts pour pouvoir maîtriser la période d’activité sexuelle. Chez la brebis conduite en lutte naturelle, un implant sous-cutané de mélatonine (Mélovine®) est inséré de 30 à 40 jours avant l’introduction des béliers. Les différents essais réalisés depuis plusieurs années chez 5 races françaises, et qui mettaient en comparaison, dans les mêmes élevages, des femelles traitées et des femelles témoins, montrent que la fécondité des brebis traitées est très supérieure à celle des brebis témoins (16 agneaux nés en plus pour 100 brebis mises en lutte). Les dates moyennes de mise bas sont plus précoces et moins étalées chez les traitées que chez les témoins. Chez la brebis également, cette fois-ci en association avec un traitement hormonal de synchronisation de l’oestrus et une insémination artificielle, la fécondité des brebis traitées, pour l’ensemble oestrus induit plus retours, est aussi très significativement supérieure à celle des brebis témoins (30 agneaux nés en plus pour 100 brebis mises à la reproduction). Chez la chèvre, du fait de la forte demande existante pour une lutte en pleine contre-saison (avril à juillet), il est recommandé de faire subir un traitement lumineux (éclairement supplémentaire avec aube fixe et "flash" nocturne) pendant une période d’au moins 2 mois avant la pose de l’implant de mélatonine. Les boucs recoivent le même traitement ; les femelles sont séparées de tout contact avec les mâles à partir de la pose de l’implant. La lutte naturelle se fait en introduisant les boucs traités parmi les femelles, de 35 à 70 jours après la pose de l’implant, de façon à bénéficier de "l’effet bouc". Dans ces conditions, la fertilité est voisine de celle observée en lutte naturelle pendant la saison sexuelle (supérieure à 80 %) et les fécondations ont lieu environ 10 jours après l’introduction des mâles. La prolificité est équivalente à celle observée en saison sexuelle. L’association de ce traitement avec un traitement progestatif classique de synchronisation hormonale des oestrus et avec l’insémination artificielle est en cours d’essai. Chez le bélier, l’insertion d’implants permet une avance de la croissance testiculaire et une amélioration de la production spermatique. Si l’on souhaite obtenir une activité spermatogénétique intense en pleine contre-saison, comme chez les mâles des centres d’IA, il est nécessaire de faire précéder la pose de l’implant d’une période de jours longs réels ou mimés par une heure d’éclairement nocturne. Un tel traitement stimule la croissance testiculaire, améliore le comportement sexuel, la production spermatique et augmente la fertilité après IA, par rapport aux béliers non traités. Il est également possible de faire subir aux béliers reproducteurs une alternance d’un mois de jours longs et d’un mois de jours courts, ce qui induit le maintien d’une activité spermatogénétique élevée et constante pendant plusieurs années. En bâtiment ouvert, sur des mâles laissés en photopériode naturelle, l’alternance d’un mois d’éclairement nocturne avec un mois d’implant de mélatonine permet d’aboutir aux mêmes résultats, la dépose de l’implant en fin de traitement devenant toutefois délicate. Chez le bouc, le même type d’alternance rapide entre jours longs et jours courts permet de maintenir une production spermatique élevée de bonne qualité pendant au moins trois années consécutives. Dans ces conditions, le nombre de doses de semence congelée produites est très supérieur chez les animaux traités par rapport aux animaux témoins (+41 à +69 %). La fertilité des chèvres inséminées artificiellement avec de telles doses n’est pas différente de celle des chèvres inséminées avec la semence des boucs témoins. Les implants de mélatonine Mélovine®, ont obtenu en 1995 l’autorisation de mise sur le marché.

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“…Carlson (2000) found that there was an additive effect of melatonin implants and progesterone, which substantially increased pregnancy rates in anestrous ewes compared to non-treated controls. Ronayne et al (1989) found that the first time at which P 4 concentrations were greater (p < 0.01) in ewes implanted with 700 mg melatonin implants than in control ewes occurred 66 days after implantation. Williams and Helliwell (1993) also found that a period of 60 days was required after implantation before beneficial effects of treatment with melatonin on reproductive performance in anestrous ewes was observed.…”

Section: Manipulation Of Lightmentioning

confidence: 82%

“…Although treatment with melatonin did affect the percentage of dry ewes with high P 4 , some evidence indicates that an even greater response could be observed after a longer duration of time following melatonin implantation. For example, Ronayne et al (1989) found that the first time at which P 4 concentrations in implanted ewes were higher (p < 0.01) than in control ewes occurred 66 days after implantation. However, this delayed response to melatonin was observed in Cheviot and Suffolk ewes, both of which are known for their short breeding seasons and decreased ability to respond to out-ofseason breeding approaches.…”

Section: Discussionmentioning

confidence: 97%

“…O'Callaghan et al (1991) inserted 700 mg subcutaneous implants in ewes kept on an intermediate photoperiod and found that daytime melatonin concentrations were approximately 100 pg/mL 29 days after implantation. Ronayne et al (1989) inserted the same implants to anestrous ewes and found that daytime melatonin concentrations were 141 pg/mL 30 days after implantation. An interesting possibility presented by these two studies is that melatonin concentrations in the current experiment may have reached levels over 100 pg/mL and then dropped before the first postimplantation blood sample was taken on day 35.…”

Section: Discussionmentioning

confidence: 99%

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Approaches to improve the ovulatory response and reproductive performance of ewes introduced to rams during seasonal anestrus

Jordan¹

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The effect of frequency of administration of melatonin on the time of onset of the breeding season in anoestrous ewes

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Approaches to improve the ovulatory response and reproductive performance of ewes introduced to rams during seasonal anestrus

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