The development of children's knowledge structures: events, slots, and taxonomies

Abstract

Seventeen preschool (age range 2;10–3;6), 26 kindergarten (age range 5;5–6;7), and 26 fourth-grade (age range 9;5–10;5) children's knowledge structures were examined with a word association task and a match-to-sample picture task to determine whether or not children used slot-filler categories as a mediating structure between event-based and taxonomic knowledge structures, as proposed by Nelson (1985, 1986). In general, preschool children were able to provide event-based, but not slot-filler or taxonomic, relations; kindergarten children were able to provide event-based or slot-filler relations, but very few taxonomic relations; and fourth-grade children were able to provide all three relations. These findings support Nelson's hypothesis that taxonomic knowledge structures are derived from event-based knowledge structures with the aid of slot-filler categories.

Situation bounded conceptual organization in children: from action to spatial relations

“…This task has been already used with success for studying conceptual relations in children (Nelson, 1986). Sell (1992) has used both an oral word association task and a match-to-sample task with children aged from 2 to 10 years. Lucariello et al (1992) have used an oral word association task, a production task, and a forced-picture-choice task with children aged 4 and 7 years and with adults.…”

“…Many authors would surely agree that both thematic and taxonomic organization still play a role in older children's and adults' conceptual organization (Markman, 1989;Sell, 1992). However, to our knowledge, there is no direct evidence supporting this claim.…”

BD2I : Normes sur l’identification de 274 images d’objets et leur mise en relation chez l’enfant français de 3 à 8 ans

“…psychologique, 2006, 106, 375-396 Relations entre objets Nos choix relatifs aux associations entre objets ont été déterminés par plusieurs considérations théoriques et par des objectifs de recherche fondamentale. La sélection des items a pris appui sur les études réalisées antérieurement chez les jeunes enfants (par exemple Baldwin, 1992;Blaye, Bernard-Peyron, & Bonthoux, 2000;Blaye & Bonthoux, 2001;Golinkoff, Shuff-Bailey, Olgin, & Ruan, 1995;Imai, Gentner, & Uchida, 1994;Lucariello, Kyratzis, & Nelson, 1992;Markman & Hutchinson, 1984;Rosch, Mervis, Gray, Johnson, & Boyes-Braem, 1976;Sell, 1992;Smiley & Brown, 1979;Waxman & Namy, 1997). Une liste des catégories les plus souvent utilisées a d'abord été établie.…”

“…Les auteurs ayant tenté de prendre en considération ces productions linguistiques ont souligné les « distorsions entre la nature des choix opérés par les enfants et leurs justifications verbales » (Chemlal, 2000, p 138). En particulier, les associations supposées relever d'une appartenance à une catégorie taxonomique commune s'avèrent parfois Nelly Scheuner • Anne-Caroline Schreiber • Jacques Trinquart L'année psychologique, 2006, 106, 375-396 justifiées par un lien thématique Bonthoux & Blaye, 1999;Lucariello et al, 1992;Sell, 1992;Walsh et al, 1993) Matériel Les 80 associations sélectionnées précédemment pour l'épreuve de reconnaissance étaient proposées à un nouvel échantillon d'enfants. Les distracteurs ont été enlevés pour ne faire apparaître que des paires d'objets : la cible et l'associé.…”

“…En revanche, les cotations des explications comme thématiques ou taxonomiques sont plus délicates. Nous nous sommes basées sur celle préconisée par Lucariello et al (1992) et Sell (1992), faisant référence aux travaux de Nelson. Selon ces auteurs, pour établir qu'une justification renvoie à une relation thématique, il faut que soit mentionné un lien spatial ou temporel entre les deux objets ou encore une action commune incluant les deux objets (pour gant et ski, « on met des gants, puis on va faire du ski » ; pour ballon et vélo : « on va jouer au ballon en vélo »).…”