The Depression of Widowhood

On the classification and diagnosis of pathological grief

“…Clayton defined pathological grief Clayton defined as a "continued depressive symptom," and treatment "should be that which is given to any depressed patient" (1990, p. 34). Thus, the view of grief that is suggested in Clayton's model (Clayton, 1990;Clayton et al, 1972) is one of a depressive reaction to a life event: following this, extreme depressive symptomatology would be seen as the fundamental manifestation indicating pathology.…”

“…Different but also highly influential in research on pathological grief has been Clayton's depression model of grief, which fo-cuses on the emotional reaction of depression following a specific life event, namely bereavement, in conceptualizing the complications of grief (e.g., Clayton, Halikas, & Maurice, 1972;Clayton, 1990). Clayton based her conceptualization on the study of bereaved persons in a community sample, to determine what proportion met criteria for clinical depression (42% did so at 1 month; 16% at 1 year).…”

Le veuvage : problèmes et facteurs d’adaptation

“…Parmi les facteurs individuels d'adaptation au deuil, les facteurs psychologiques ont longtemps été proposés comme déterminants. Or les études empiriques montrent que le fait d'avoir vécu d'autres crises (Maddison, 1968;Parkes, 1972), l'histoire psychiatrique individuelle (Bornstein et al, 1973;Clayton et al, 1972;Maddison, 1968), l'histoire psychiatrique familiale (Maddison, 1968), et la manifestation d'hallucinations (Rees, 1971) ne sont pas liés à des problèmes d'adaptation.…”

“…Il reste que cette entente est difficile à mesurer, surtout a posteriori, alors que le survivant idéalise son conjoint (Lopata, 1979). Aussi, certains chercheurs ont préféré vérifier l'effet de la durée du mariage sur l'adaptation au deuil mais ils n'ont pas obtenu de résultats probants (Clayton et al, 1972). D'autres chercheurs ont étudié l'effet de la multidimensionnalité des liens entre les conjoints et y ont décelé des différences selon les classes sociales : les femmes de classe moyenne et élevée qui partagent plus d'activités avec leur conjoint sont davantage affectées par le deuil (Walker, McBride, Vachon, 1977).…”

“…Par ailleurs, Bornstein et al (1973) soulignent que les personnes déprimées ne restent pas avec leur famille tandis que Clayton et al (1972) constatent que ces dernières ont moins d'enfants adultes habitant à proximité. Des études de cas suggèrent que des réactions pathologiques de deuil chez les enfants, une relation négative avec la mère surtout lorsqu'elle est veuve, une relation négative ou compétitive avec la bellefamille quant au chagrin ressenti peuvent nuire à l'adaptation au deuil (Maddison, 1968).…”